Si le projet de loi initial a été en grande partie «détricoté» par la commission des Finances, présidée par l’insoumis Éric Coquerel, le texte sera débattu devant l’Assemblée national. Dimanche 20 octobre, sur BFMTV, le député RN Jean-Philippe Tanguy a déclaré que son parti «ne votera pas la motion de rejet (…) parce que c’est faire un cadeau à Michel Barnier».
Ne pas laisser la gaucher «remporter des victoires» sur le budget
Dans l’émission «Un dimanche en politique» sur France 3, le député LR Vincent Jeanbrun a dénoncé les partis de gauche qui «essaient de mettre en danger le budget de la France et [qui] sont dans une stratégie du chaos». Pour Jean-Philippe Tanguy, le projet de loi réécrit en commission n’avait plus «de colonne vertébrale». Il accuse la macronie et la droite d’avoir «volontairement laissé péricliter ce budget pour ensuite le critiquer». Néanmoins, le texte, dans sa version initial, repartira dès lundi 21 octobre devant les députés qui débattront en assemblée plénière du budget 2025.
Le RN ne votera la motion de rejet de la gauche
En effet, le groupe de Marine Le Pen souhaite attendre donc l’examen du budget à l’Assemblée avant de se prononcer sur le texte. La France insoumise a déjà préparé une motion de rejet de la quasi totalité du texte. Toutefois, pour être adoptée, il lui faudrait obtenir les votes de toute la gauche et d’une partie du Rassemblement national. Le député de la Somme, Jean-Philippe Tanguy, a déclaré sur BFMTV: «Ils sont très contents qu’il y ait une motion de rejet et qu’on ne discute pas du budget devant les Français, (…) et que Monsieur Barnier puisse faire ses petites magouilles avec les macronistes dans les couloirs». Le jeune élu fait référence ici à la possibilité pour l’exécutif de faire voter le budget sans qu’il y ait de débat à l’Assemblée.
Malheureusement, il faut se faire à une caste qui depuis 1981 et surtout depuis mai 1968, a décidé de devenir à la fois la noblesse mais encore la seule voie de la raison, de la liberté et tout et tout. Mélangeant joyeusement les affaires de famille, LGBT, et les histoires de fric, nous arrivons à des gouvernements tuyau de poêle dans lequel si quelqu’un n’est pas de la famille, il couche, de toutes façons, avec un autre ministre. Déficit ? Oh ce n’est pas cette nouvelle noblesse qui paiera ils ont au contraire multiplié le nombre de planques, de sinécures, de prébendes pour caser la famille les maîtresses les gitons, les gigolos, les complices et les bons copains. Le couillon qui travaille ou qui a travaillé est là pour payer leurs largesses.