Invitée dans la matinale de France Inter, mercredi 28 août, la maire du 7e arrondissement parisien a expliqué qu’il était tout à fait possible de se retrouver autour des «préoccupations des Français» comme «le pouvoir d’achat, la sécurité, la maîtrise de l’immigration et la réduction des inégalités».
Essayer de «travailler ensemble»
Les consultations se poursuivent à l’Élysée et aucun nom pour Matignon ne semble sortir du lot. Interrogée par nos confrères de France Inter, Rachida Dati a appelé les responsables de la droite républicaine à trouver des compromis avec la macronie afin de former un gouvernement. Elle assure ainsi qu’il s’agit de «la voix de la responsabilité». La ministre de la Culture estimera que ces deux groupes doivent «travailler ensemble dans l’intérêt de la France». Elle poursuivra en expliquant que «nous sommes dans un moment inédit de la Vᵉ République. Nous devons trouver des responsables politiques pour essayer, dans l’intérêt de la France, de travailler ensemble». Pour l’élue parisienne, cette coalition pourrait aller «jusqu’aux sociaux-démocrates». Et d’ajouter que les «socialistes se mettant sur la gueule, n’étant pas d’accord entre eux sur la ligne», la droite était la seule solution pour une future coalition.
Pour Rachida Dati, le «coup de force» vient de la gauche
Le Nouveau Front populaire n’a de cesse de dénoncer un «coup de force» d’Emmanuel Macron suite à son refus de nommer Lucie Castets Première ministre. Pourtant, deux points sont relevés par l’Élysée mais aussi par les partis de droite: le programme politique, dicté par LFI, est incompatible avec la situation économique de la France. De plus, le chef de l’État a été prévenu qu’une motion de censure serait lancée contre le gouvernement NFP à la première proposition de loi. Cependant, pour Rachida Dati, la pression vient bien de la gauche. «Le coup de force, c’est quand on est minoritaire et qu’on appelle à l’insurrection, à la manifestation contre les institutions», assènera la ministre démissionnaire. L’élue parisienne juge ainsi que «la gauche est prisonnière de son aile sectaire». Et de conclure qu’«elle a décidé de ne pas être utile au pays».
retour ta veste
toujours du bon côté
elle finira par se déchirer
Exactement, elle va où le vent souffle, plus hyppocrite que celle là il n’y a pas……