Une réaction très controversée y compris dans ses propres rangs
Sur Twitter, dimanche dernier, Mélenchon avait soutenu, sans aucune retenue, son fidèle lieutenant Adrien Quatennens alors que celui-ci venait d’avouer des violences conjugales. Le journaliste demande alors au chef suprême de LFI devant l’Assemblée nationale : « Est-ce que vous regrettez les tweets que vous avez publiés ?», tandis que le responsable politique passe devant lui pour se rendre aux journées parlementaires de son parti.
La réponse est immédiate. Jean-Luc Mélenchon rit puis fait brusquement demi-tour : « Monsieur, je pèse mes mots tout le temps, c’est vous qui regrettez ce que vous êtes en train de me dire», dit-il en tapotant la joue du journaliste, qui opère un mouvement de recul. Un geste qui a heurté de nombreux journalistes et un très grand nombre d’internautes.
Le problème des politiques hors-sol
Il faut rappeler qu’il est de coutume pour le leader des Insoumis de penser qu’il détient la vérité en toutes circonstances. On se rappelle de cette altercation avec un jeune policier durant la perquisition du siège de son parti le 11 septembre 2018 et où il hurlait que «La République, c’est moi ! ». C’est donc, naturellement, que dimanche, alors le député LFI Adrien Quatennens, venait de publier une lettre dans laquelle il reconnaissait notamment avoir donné une gifle à son épouse, Jean-Luc Mélenchon a d’abord dénoncé dans un tweet «la malveillance policière, le voyeurisme médiatique, les réseaux sociaux». Il a salué en revanche la «dignité» et le «courage» d’Adrien Quatennens, lui redisant sa «confiance» et son «affection».
C’est donc une des première fois où on assiste à une désolidarisation de son premier cercle en public. «Ce ne sont pas mes mots», ont, notamment, dit Clémentine Autain et Manon Aubry, tandis que la députée Pascale Martin a estimé dans un communiqué qu’une telle réaction de Jean-Luc Mélenchon pouvait «avoir des conséquences graves» en décourageant les femmes de signaler des faits de violences. Quant à Elisabeth Borne avait évoqué mardi un tweet «évidemment extrêmement choquant», reprochant au leader «insoumis de banaliser les violences intrafamiliales». Reste à savoir comment il va gérer la multiplication de cas comme celui de Quatennens qui n’arrêtent pas d’être révélés par les victimes elles-mêmes.
Mieux vaut une main courante qu’une main baladeuse …
A travers Mélenchon qu’apparemment vous adulez vous soutenez un mec, non un lâche qui cogne son épouse. En plus c’est un mec qui est très imbu de sa personne. Désolant, révoltant.
Vous cherchez à l’abattre ?
Ah c’est sûr que Mélanchon n’est pas un homme d’argent, il n’a jamais exercé un métier autre que celui de politicien et il a un revenu mensuel assez conséquent et le tout financé par nos impôts, quant à son intégrité, laissez moi sourire et en douter. Pour les journalistes, je suppose qu’ils seront précieux quant ils iront dans votre sens.
Comment peut-on, dans son statut de politique, accepter et encourager la violence intra conjugale, moi je dis inadmissible. Qu’il soutien son lieutenant, je veux bien mais qu’il le fasse en intimité.
Bonne journée.
Je vois pour qui vous avez voté aux dernière élections. Oui vous avez raison laissons les femmes se fairent frapper surtout quand c’est en toute discrétion a la maison. Oui Melanchon soutient sont député normal il doit tout comme vous en faire autant chez lui. Continuer à soutenir des hommes qui frappent leurs femmes oui pour frapper une femme faut être un homme un vrai il faut en avoir dans la culotte.
Bonne journée ( l’homme le vrai)