Ursula von der Leyen ©Wikipedia Commons
Appartenant au Parti Populaire Européen (PPE), qui rassemble les partis de droite, Les Républicains ont fait savoir qu’il ne soutiendrait pas sa candidature.
Un bilan fragile et trop proche des écologistes
Dès le 19 février, date à laquelle von der Leyen a annoncé sa candidature, François-Xavier Bellamy eurodéputé LR, s’était montré hostile à un nouveau mandat de l’actuelle présidente de la Commission. Il l’accusait alors de n’être «pas à la hauteur» et d’avoir «largement contribué à fragiliser l’Union européenne». De plus, il lui ait reproché aussi sa trop grande proximité avec les écologistes qui a conduit, selon lui, a avoir «fait du mal» à l’agriculture. Enfin, il voit en elle une dirigeante dont les priorités sont dictées par la gauche et non pas par son parti. Les LR rappelle aussi qu’elle était la candidate de Macron. La droite européenne souhaitait voir se présenter Manfred Weber, allemand aussi et président du groupe PPE au Parlement européen.
Une amie des macronistes
Ursula von der Leyen est une proche du camp Macron et ne s’en est jamais cachée. Toutefois, les LR sont face à un mur puisqu’aucun candidat du PPE ne s’est présentée pour le poste de président de la Commission européenne. Si on ajoute à cela que les LR n’ont que neuf députés sur 177, von der Leyen est certaine de remporter le scrutin du 7 mars au congrès du PPE à Bucarest. Par conséquent, lucide, Bellamy souhaiterait que d’autres pays vote contre ou blanc afin de «faire passer un message». Le but est de lui faire réorienter sa politique avec un coup de barre à droite.
il est temps de virer ces bons à rien à la tête de l’europe est en même temps macron qui veut sa guerre comme sarkozy et hollande, mais la russie n’est pas la libye ou le mali, les gamins jouent avec le feu nucléaire.
Enfin une bonne action des LR !