Très discret depuis le premier tour des législatives du 30 juin dernier, le leader du mouvement Place publique, proche du parti socialiste, a fait sa rentrée politique dimanche dernier en Gironde. Alors que les militants socialistes comptaient sur lui pour se dresser contre «l’ogre» Mélenchon, Glucksmann est resté à l’écart et a laissé sa place à Olivier Faure. Inexistant depuis la formation du Nouveau Front populaire, dirigé par les insoumis, il est venu assurer à ses soutiens qu’il souhaitait conduire «la gauche au pouvoir» sans LFI. Pourtant, le compagnon de Léa Salamé à la ville n’était jamais monté au créneau pour soutenir Bernard Cazeneuve qui aurait pu obtenir Matignon s’il n’avait pas été autant attaqué par sa propre famille, Faure en tête.
«L’extrême droite» en ligne de mire pour 2027
Il est le premier à attaquer Jean-Luc Mélenchon sur son extrémisme et ses relations avec des groupuscules islamistes. Glucksmann lui a reproché maintes fois de «torpiller» la gauche. Mardi 8 octobre, alors que le leader des insoumis appelle «toutes les universités à lever des drapeaux palestiniens», le chef de file de Place publique restera silencieux. Néanmoins, à La Réole, petit bourg de Gironde à 60 kilomètres de Bordeaux, devant un public venu l’écouter, il affirmera qu’il est prêt pour «accéder aux responsabilités». Toutefois, il s’adressera à son audience en disant: «En 2025, ou en 2027, ce ne sera pas un succédané du macronisme, ni le populisme de gauche, qui empêchera l’extrême droite de prendre le pouvoir, ce sera nous».
Gagner des élections sans vouloir faire campagne
C’est bien son plus gros défaut et tous ses «partenaires» du NFP le reconnaissent bien volontiers. Le plus gros défaut de Glucksmann est de ne pas vouloir entrer dans l’arène politique. Il dira, sur ce point, qu’il déteste être dans «le commentaire». En septembre, Manuel Bompard, LFI, s’était amusé à dire que le leader de Place publique «avait disparu». Et d’ajouter: «Macron l’a tué en dissolvant l’Assemblée nationale». S’étant effacé dans cette période cruciale qu’a été le choix du Premier ministre, il reviendra dans les médias pour commenter les propos de Bruno Retailleau sur l’immigration. «Nous voyons les bombes pleuvoir. Un ministre de l’intérieur qui reprend les mots de Viktor Orban» dira-t-il. Pourtant, comment vouloir devenir président de la République et ignorer l’approbation de plus de 75% des Français? Il n’appartient qu’à lui d’incarner une nouvelle gauche qui viendra aussi lutter contre les «ennemis» de l’intérieur comme les insoumis et ceux qui leur sont proches, à commencer par Olivier Faure.
Glucksmann R, quel hypocrite, quel nullité, moi je n’en veux surtout pas de cet abruti, d’ailleurs je ne veux aucun socialiste qui se sont super servis dans tous les rateliers pour devenir riches avec aucun scrupule pour les français qui n’ont aucune aide et ils se prétendent servir la France à MDR et dire que certains électeurs qui votent pour ses magouilleurs et se font grugés facilement tellement ils sont naïfs et grâce à ses naïfs et bêtes on a eu 2 fois le Macronard qui ruine la France….