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Bruno Retailleau ©Capture d'écran Europe 1
Bruno Retailleau continue de pousser Emmanuel Macron vers un référendum sur l’immigration. Le ministre de l’Intérieur, candidat à la présidence des Républicains, plaide pour un recours au référendum afin de «renouer avec le peuple» sur des sujets majeurs, notamment l’immigration. Invité du Grand Rendez-vous Europe 1/CNews/Les Échos dimanche 16 février, il a mis en avant la nécessité de «redonner une vigueur aux aspirations du peuple» face à ce qu’il appelle «une tension entre l’État de droit et la souveraineté populaire».
Les responsables politiques ont le devoir de suivre «la volonté du peuple»
S’appuyant sur une déclaration du vice-président américain J.D. Vance, lors de la Conférence de la sécurité de Munich, Monsieur Retailleau a estimé que «le mal démocratique en Occident» réside dans le fait que «les dirigeants ne suivent pas les aspirations de leur peuple». Dans cette optique, il prône un référendum sur l’immigration et questionne le rôle du Conseil constitutionnel, qu’il décrit comme un «échafaudage juridique» entravant la souveraineté nationale. À ce titre, il va marteler que «la seule Cour suprême, c’est le peuple». Néanmoins, il indique qu’un référendum est possible s’il est correctement encadré. Il ajoutera: «Nous avons depuis des décennies organisé notre propre impuissance», pointant du doigt des «contraintes» systématiques, pour ne pas dire systémiques.
Une consultation urgente
Devant l’attentisme des partis politiques à prendre des décisions, Bruno Retailleau assure qu’un référendum sur l’immigration est envisageable. «Je l’affirme qu’aujourd’hui: il est possible d’avoir un référendum sur des questions migratoires, à condition que ces questions sortent de la question sociale», expliquera le ministre de l’Intérieur. Toutefois, l’article 11 de la Constitution, qui permet l’organisation d’un référendum, ne mentionne pas explicitement l’immigration. Il permet en effet une consultation sur les aides sociales aux étrangers et donc une consultation en ce sens pourrait être recevable. Il est à rappeler que, selon un sondage Ipsos, neuf Français sur dix se disent favorables à la mise en place de référendums sur divers sujets. 74% d’entre eux souhaitent trancher «les aspects sociaux de la politique migratoire».
un referendum c’est long à mettre ne place ca coute cher et ca ne sert pas à grand chose si ce n’est donner une reponse facile » vous avez raison mais on ne peut rien faire a cause de….. » « mais dès que pourra on fera le double » (citation du film Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ) et tout cela pour savoir ce que l’on sais déjà.
immigration => insécurité => pillage de nos systèmes sociaux => destruction de la France par l’intérieur c’est tout , il n’y a pas besoin d’être extreme droite pour en faire le constat
Enfin, sans pois chiche, le couscous c’est quand même fade comme dirait un sage !
Il parle, il parle, mais il ne fait absolument rien. Dans ce gouvernement la seule chose qui les intéresse c’est la qualité et la quantité de la soupe que nous leur servons. Vous ne voudriez pas quand même qu’ils risquent être renvoyés aux urnes les pôôôvres petits c’est trop aléatoire. Tant qu’ils sont là ils préparent leur avenir. Regardez comment ce brave Thierry Breton s’est rapidement recasé dans une grande banque. Il avait des amis là dedans puisqu’il avait comme ministre des finances autorisé Rothschild à verser les primes à ses larbins à Jersey ou Guernesey.
Et il a raison, mais seul micron peut décider un referendum ! 🙁