Élisabeth Borne, Paris, octobre 2022 / ©Wikipédia Commons
Ne plus débattre de cette question avec les syndicats
Il s’agit d’un pied-de-nez aux syndicats qui s’apprêtent à une grande journée de mobilisation le 31. Pour Élisabeth Borne, le débat est clos. Dans cette longue interview, réalisée en marge d’un déplacement dans la circonscription du Calvados dont elle a été élue députée, elle explique que «si on n’avait qu’un seul paramètre, alors ça ne serait pas 43 ans de cotisation et 64 ans pour pouvoir partir à la retraite, ça pourrait être 45 ans de durée de cotisation, ce qui nous semble impossible de demander aux Français».
Une façon de rappeler qu’il est préférable, selon elle, de se pencher plus sur la durée des cotisations que sur l’âge de départ à la retraite. La cheffe du gouvernement a insisté sur le but de cette réforme: «Je dis simplement que nous, notre objectif, c’est assurer qu’en 2030, on a un système à l’équilibre».
La question des femmes s’est invitée dans le débattre
Ce point n’a pas été soulevé par un responsable syndical ou un opposant politique mais c’est bien une bourde de Franck Riester, Ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement. Au détour d’une question sur le climat social, il avait expliqué qu’«effectivement, la réforme sera un injuste avec les femmes». Par conséquent, la Première ministre n’a pas eu d’autres choix de clarifier la situation.
Elle se dit donc ouverte à une discussion au Parlement sur une meilleure utilisation des trimestres «éducation» et «maternité» obtenus par les femmes au cours de leurs carrières. Elle indiquera que «dès aujourd’hui, il y a beaucoup de femmes qui ne peuvent pas les utiliser à plein, on est en train d’analyser la situation de ces femmes qui […] pourraient ne pas les utiliser à plein demain, donc cette analyse est en cours. »
Incroyable, vous êtes tous en train de râler pour l’âge à la retraite et le temps des cotisations.
Vous voulez arrêter de travailler à l’âge de 60 ans maximum, mais vous voulez recevoir une retraite digne de ce nom, mince, pas culloté. Sachez pour votre gouverne que c’est vos cotisations qui payent les retraités actuels et ce sera les cotisations des jeunes travailleurs qui payeront votre retraite. J’en connais qui râle car s’ils prennent leur retraite maintenant à 60 ans, ils ne toucherons que 324 euros par mois, MAISSSSSS, ils n’ont JAMAIS cotisés et pire, ils se disaient artisants indépendants MAISSSSS ils n’ont jamais versé quoi que ce soit, TRAVAIL NON DECLARE. Et maintenant, ils profitent du système pour vivre et même partir en vacances.
Alors STOP. Allez voir chez vos voisins, âge de la retraite « 67 ans ».
Pourquoi vouloir le beurre, l’argent du beurre, le sourire de la crèmière et la crèmière.
pauvre con
Seuls, les imbeciles ne changent pas d’avis !!!!
Borne et toute la clique n’ont jamais travaillé de leur existence, ils ne savent pas ce que c’est que se lever tôt et rentrer tard après une journée de travail. Et le travail pénible, en ont-ils la moindre notion?
Pour couronner le tout, souvent pour des salaires de merde avec lesquels il faut compter et recompter pour se nourrir jusqu’à la fin du mois.
Eux, les politiques n’ont pas besoin de compter c’est le Pérou sans tenir compte des avantages exagérés dont ils sont « gavés » !
Ils ne sont pas du tout dans la vie du Français lambda.
Dehors toute cette clique !!!
Il faudrait que cette bornée apprenne la différence entre le pouvoir législatif et l’exécutif. C’est au deux chambres parlementaires que revient le pouvoir d’entériner une loi, pas à elle. Ça sent le 49.3 encore une fois. Et la virer à grands coups de pompe dans le cul c’est négociable ?
Pour n’être plus négociable, faudrait-il qu’il eut été !!!!! J’ai des doutes.