Rousseau, députée EELV/Nupes, ne parlera que plus tard de «la santé des plus fragiles». Invitée de LCI mardi 17 janvier, les réponses de l’élue écologiste montrent qu’elle n’a probablement pas compris de quoi il s’agissait.
Une opposition globale au texte et des arguments… discutables
Sans trop s’attarder sur l’aspect social du projet de loi, Sandrine Rousseau va mettre en avant les risques que ce texte fait courir à la planète. Elle assène, sur le plateau de LCI, que, «2500 études dans le monde montrent que plus on travaille, plus on émet du carbone». Elle indique qu’«Ils (veulent) nous obliger à travailler jusqu’à 64 ans. Au nom de quoi ? Au nom du productivisme et de la croissance». Elle ajoutera qu’«ils nous demandent de passer notre vie à développer une croissance qui nous envoie dans le mur sur le plan climatique». Elle qualifie le projet de loi de «productiviste», «qui pèse sur les plus fragiles et la santé des plus fragiles». «Notre vie, notre santé valent mieux que deux ans de travail supplémentaires et quelques points de PIB supplémentaires», explique-t-elle.
Avant d’être députée, Rousseau était professeur d’économie
En effet, elle enseignait à l’université de Lille. Compte tenu de l’impact de la réforme et des arguments avancés par le gouvernement, mais aussi par des partis qui souhaitaient cette réforme avant les élections présidentielles, on aurait attendu d’elle une critique constructive dans ce débat. Toutefois, il faut rappeler que l’élue de la 9ème circonscription de Paris défend fermement le «droit à la paresse» et appelle à «passer à 32 heures de travail par semaine et à une semaine de quatre jours». «Cela permettrait de ralentir la course au productivisme», synonyme de «destruction de la planète et des corps».
Elle conclura en expliquant que, selon elle, Macron «insiste» avec la réforme des retraites car «c’est la seule mesure qu’il n’a pas réussi à faire passer lors de son premier mandat». Elle dira que «c’est quelque chose de l’ordre de l’humiliation politique […] et de l’obstination déraisonnable». Et quand on lui parle d’un éventuel recours au 49.3, la députée se veut ferme: «Notre vie, notre santé, notre planète méritent mieux qu’un 49-3».
Enfin une économiste qui ne vénère pas la sainte croissance. Réveillons nous ! Merci Benji!
Moi je crois plutôt que c’est l’auteur de cet « article » qui n’a pas compris de quoi il s’agissait.
Dans 1 an (j’espère) ou dans 10 ans, la majorité aura compris que nous sommes lancés dans une course au « plus » qui ne peut se faire sans continuer à dérégler notre climat et tuer la biodiversité, avec des conséquences désastreuses pour nous tous, guerre, famines, etc et a fortiori (mais pas seulement) les plus vulnérables.
L’urgence est de ralentir, même si c’est désagréable. Ca fait moins mal de passer de 100km/h à 50km/h en freinant qu’en se heurtant à une crise (un mur).
Documentez-vous.
Continuez à voter pour élire tout ces incompétents dangereux et le pays sera bientôt à genoux
Par contre pour eux pas de problèmes, ils peuvent vivre au dessus de leurs moyens
Boycottez ces écolos bobos avant qu’il ne soit trop tard
Quelle conne celle-là. Si elle arrêtait de respirer cela serait bon pour la planète !
Ne rigolez pas, c’est avec votre pognon de contribuable que Sandrine Rousseau peut débiter des âneries à longueur de journée ! !
A l’instar des travailleurs du privé qui toute leur vie doivent justifier d’un travail ,cette dame fonctionnaire touchera une bonne retraite sans avoir beaucoup travaillée.