Valérie Pécresse a fait sa première apparition publique depuis sa défaite à l’élection présidentielle : « Je recharge mes batteries, je retiens mon souffle ». Trois semaines après une défaite écrasante de 4,8% au premier tour de l’élection présidentielle, Valérie Pécresse est revenue vendredi à Versailles en tenue de présidente de la région Île-de-France.
Cela ne s’est pas produit depuis qu’elle avait perdu au premier tour de l’élection présidentielle. Vendredi, Valérie Pécresse est revenue sur scène pour prendre la parole dans le cadre de la cérémonie d’ouverture de la « Biennale d’architecture et du paysage » de la région Ile-de-France à Versailles.
Pour sa réapparition, l’ancienne candidate républicaine a donc revêtu sa tenue de présidente de région pour prendre la parole. « J’ai retenu mon souffle, a-t-elle expliqué. Je suis allée faire des balades dans la nature car c’est le meilleur endroit pour se ressourcer. »
800 000 euros perdus
Valérie Pécresse promet de « remonter sur son cheval » et de se consacrer à sa région. « Moi je suis totalement à fond, je me projette dans l’avenir », a ajouté celle qui a obtenu 4,78% des suffrages au premier tour de l’élection présidentielle. Aujourd’hui, le thème c’est faire. A la place qui est la mienne, j’y travaille. C’est ce que je suis, et je serai toujours comme ça. »
« En politique, soit vous gagnez, soit vous apprenez. On va dire que j’ai beaucoup appris » a souligné Valérie Pécresse
Pourtant, comment ne pas penser que l’épée de Damoclès est toujours sur la tête de Valérie Pécresse : 5 millions d’euros de frais de campagne à rembourser ? Son entourage nous a confié que la levée de fonds avait permis de récolter plus de 2,5 millions d’euros. Son parti, Les Républicains, a également mis la main à la pâte.
Ainsi, il reste 800 000 EUR qui ont été perdus à ce jour et devront être trouvés d’ici la fin mai. L’appel aux dons a été prolongé de quinze jours. L’entourage de l’ancienne candidate a assuré qu’en cas de besoin, Valérie Pécresse « restera la tête haute » pour « assumer » sa dette.
Même pas un centime pour la traîtresse sans vergogne, pleine aux as, qui dilapide le fric dans une élection sans espoir, et qui fait ensuite la quête.
Le plus triste dans cette histoire pitoyable, est qu’elle trouve encore assez de gens stupides qui mettent la main à la poche. QUELLE GABEGIE !
A dénigrer et vouloir écraser E Macron ,elle s’est fait écraser.
Elle n’a jamais prononcé 3 mots sans citer E. Macron .
A elle maintenant de regler ses dettes.
Acune pudeur de faire appel à des dons !!!!!!