
Éric Ciotti ©Alamy
Le 10 avril 2025, des incidents violents ont éclaté à l’Assemblée nationale, en marge d’un rassemblement de soutien à des assistants parlementaires de La France insoumise, visés par une enquête du média Frontières. Éric Ciotti, patron de l’Union des Droites pour la République (UDR), a réagi en exigeant des sanctions exemplaires.
Journaliste agressée par des membres du NFP
Ce mercredi, des journalistes de Frontières ont dû être exfiltrés par les services du Palais-Bourbon lors d’un rassemblement de soutien à des collaborateurs parlementaires de LFI, visés par une enquête du média intitulé «LFI le parti de l’étranger». Cette réunion, organisée dans les jardins à deux pas de la salle des Quatre-Colonnes, à l’appel notamment de la CGT, a donné lieu à de vives altercations entre la gauche et des journalistes du média Frontières.
De plus, durant ces incidents, Éric Ciotti affirme que l’un de ses collaborateurs a été agressé «dans la violence provoquée par l’extrême gauche». Il aurait été «attaqué» par un «journaliste participant à la manifestation et proférant des insultes d’une gravité extrême», selon le patron de l’UDR. Celui-ci réclame son exclusion de l’Assemblée nationale. «Jusqu’où ira l’extrême gauche ? La prise du « capitole » en drapeau rouge ?», s’est-il insurgé. Une plainte a été déposée.
La liberté de la presse en danger
Les événements ont suscité une vive indignation à droite. Le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, et le patron des députés Les Républicains, Laurent Wauquiez, ont exprimé leur soutien aux journalistes de Frontières, dénonçant une atteinte à la liberté de la presse. Le directeur de Frontières, Erik Tegnér, a accusé «des députés NFP» d’avoir agressé deux des journalistes de son média, qui «ont une carte de presse» et sont «rentrés légalement» au Palais-Bourbon. Il affirme qu’une plainte est en préparation.
Ces incidents interviennent dans un contexte de fortes tensions politiques. La France insoumise et ses alliés de gauche ont récemment multiplié les actions contre le Rassemblement national et les médias de droite. Le rassemblement de soutien aux collaborateurs parlementaires de LFI, visés par l’enquête de Frontières, a été perçu comme une provocation par la droite, qui dénonce une tentative de museler la presse.
Eh oui ! C’est la démocratie à la poutine ! On n’a pas le droit de penser autrement que ce que cette gauche exige et surtout il est défendu de la critiquer. Pourtant, il y a de quoi en matière de critiques !!! Ils son démoniaques, extrêmement dangereux et d’une stupidité incroyable ! Ils ne savent que menacer, insulter et semer le chaos.
la démocratie à géométrie variable ! 🙁
lfi = le fion islamiste ! 🙁
les cons ça ose tout, c’est à ça qu’on les reconnait !
IL faut porter plainte…