Alors que la question de supprimer ces droits aux dealers revient de plus en plus souvent, l’action de la CAF de l’Isère pourrait voir se développer dans les villes où le trafic de stupéfiants prend trop d’ampleur.
Ces actions ont débuté en 2020
Pourtant, elles n’ont été rendues publiques que ce week-end par une indiscrétion de nos confrères du Figaro. Il s’agit bien, officiellement, de lutter contre le trafic de drogue à Grenoble. Les autorités y dénoncent une ville prise au piège «dans une guerre des gangs». C’est ainsi qu’un accord a été passé entre la CAF de l’Isère et le parquet de Grenoble. Les agents peuvent ainsi connaître les revenus perçus issus du trafic de stupéfiants par leurs allocataires. Cela permet de réévaluer le calcul des montants dus à ces individus. Les informations ne leurs sont fournies qu’après les condamnations devant un juge et non durant les enquêtes.
Peu de cas signalés pour l’instant
Il faut certainement voir cette démarche comme une première approche sur la question sensible des allocations versées aux trafiquants et à leur famille. Éric Vaillant, procureur de la République de Grenoble, explique au Figaro que ces activités «ont beau être occultes et illégales, elles sont des revenus qui auraient dû être déclarés pour le calcul des allocations au titre des revenus réels de la personne». Pour l’instant, seulement 55 individus ont été signalés par le parquet et toutes n’ont pas encore fait l’objet de sanctions. Une loi déposée au Sénat en 2023 proposait déjà de suspendre les allocations pour les personnes condamnées dans le cadre de trafic de drogue mais n’a donné lieu à aucun vote.
L’Isère devient de plus en plus une verrue, une incongruité dans le paysage politique français. Il faut qu’ils se réveillent dans ce coin.
pommejjl Tant que les trafics seront soutenus par la haute classe bourgeoise (républicaine ) et de certains élus ( républicains ) donneurs de leçons , aux commande du trafics , rien ne va bouger de façon honnête Ont doit se contenter de (ont dit que ? ) les actions peut-être dans X années ? Alors croire à ça ? il faut être illuminé
« Une loi déposée au Sénat en 2023 proposait déjà de suspendre les allocations pour les personnes condamnées dans le cadre de trafic de drogue mais n’a donné lieu à aucun vote ».
Il semblerait que des sénateurs soient des amateurs de drogue (parution dans le presse récemment), c’est sans doute pour cela que ce texte n’a pas été présenté au vote, ceci expliquent cela.
Comme d’habitude se sont encore des mauricos
Les Impôts devraient prendre exemple et taxer les dealeurs, les prostituées sont bien imposées, bien que leur métier ne soit pas reconnu!
Mais c’est déjà un début, faut aller plus loin, si les dealers ont moins d’argent il n’aurons, peut être moins d’arme, c’est plus rassurant pour le voisinage. (on peut rêver!)
Et tous ceux qu’ils ne connaissent pas ou tous ceux qui surveillent toute la journée sont-ils compris dedans..?, j’ai comme un doute….pp
Agir sur ceux qui sont connus est déjà un premier pas important vers ce que j’estime être une normalisation, mais faut il que cette loi soit prise en compte et qu’elle soit appliquée.
c’est surtout que donner des allocations à des trafiquants, c’est amoral et de plus du gaspillage.
il y a des personnes qui en ont vraiment besoin, mais d’autres pour qui serait de l’argent de poche…!
Ah parce qu’il leur faut aussi une allocation CAF ? Ca ne rapporte pas assez le trafic de drogue ? Quand je pense qu’il faire des mille est des cents pour obtenir une allocation, eux les doigts dans le nez !
Les services fiscaux peuvent aussi les taxer d’ office à l’ impot sur le revenu
OUI une grosse « amende » forfaitaire mensuelle……!!!!
Il est étonnant de lire qu’il y aurait une cinquantaine de personnes qui seraient dans le collimateur mais qu’aucune sanction n’aurait été prise ? Mais ce n’est pas étonnant que le trafic de drogue rapporte tellement et que souvent les têtes de pont se trouvent en haut lieu !! Administration, avocats , et bien d’autres !! On n’est pas prêt d’andigue le phénomène !!
C’est un premier pas, mais priver un trafiquant de quelques centaines d’euros de la CAF alors que le trafic de stupéfiants lui rapporte des dizaines de milliers d’euros par mois serait illusoire de croire qu’il renoncera à son activité criminels.
Mais c’est déjà un premier pas moyennement efficace, qu’il faut encourager.