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Le Conseil supérieur des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel (CSTA), une instance rattachée au Conseil d’État, a publié un communiqué le 11 février dernier pour dénoncer une vague de haine supposée en ligne ciblant des magistrats et des avocats. Cette montée de violence verbale, qui se manifeste par des insultes et des menaces, a été particulièrement exacerbée par des publications récentes, notamment depuis la diffusion d’une enquête du média Frontières. Nos confrères, dans leur premier «hors série», ont dénoncé ceux qu’ils estiment être «les coupables» de «l’invasion migratoire». Dans leur enquête, les journalistes pointent «les ONG, avocats, juges, journalistes et passeurs».
L’enquête qui dérange
Parue fin janvier, les journalistes de Frontières ont jeté un regard acerbe sur ce que certains appellent «l’invasion migratoire». Ils n’ont pas hésité à cibler, notamment, plusieurs avocats de gauche impliqués dans la régularisation de migrants et le «business» qu’il y a autour de l’immigration clandestine. Selon le communiqué du CSTA, ces publications mettent en cause l’indépendance et l’impartialité des juridictions administratives, des valeurs essentielles pour le bon fonctionnement de l’État de droit. Les juges et avocats concernés se retrouvent ainsi pris pour cibles sur les réseaux sociaux, victimes de menaces violentes.
Le CSTA a exprimé son soutien total aux professionnels de la justice, affirmant que des suites pénales doivent être données à ces actes de harcèlement. Les attaques en ligne ne se sont pas limitées aux avocats, mais ont également visé des juges et des membres du personnel de greffe. Cette situation s’est intensifiée après la décision du tribunal administratif de Melun, qui a annulé l’obligation de quitter le territoire français (OQTF) d’un ressortissant algérien, Doualemn, accusé d’antisémitisme et d’appels au meurtre. Cette décision a provoqué une onde de choc parmi un grand nombre de défenseurs des forces de l’ordre qui ont interprété ce jugement comme un signe de la dérive islamo-gauchiste des autorités judiciaires.
Frontières devient la «bête noire» de l’extrême gauche
Dénonçant clairement des personnes ou des groupes de personnes, preuves à l’appui, le média Frontières, nécessairement catalogué à l’extrême droite désormais, est devenu «l’homme à abattre» pour l’extrême gauche. Celle-ci se montre unie dans ce combat contre la liberté de la presse, réunissant la magistrature, de grands journaux comme Le Monde, des avocats, etc. Dans un contexte où la radicalisation des opinions semble se propager rapidement sur les réseaux sociaux, la réaction de Frontières n’a pas tardé. Son fondateur, Erik Tegnér, a pris la parole sur la plateforme X (anciennement Twitter), en qualifiant les réactions à son enquête de «folles». Il estime ainsi qu’il avait «vraiment tapé dans le mille» avec cette enquête. Selon lui, les attaques dont sont victimes les avocats et les juges ne seraient qu’une conséquence inévitable du combat qu’il mène contre ce qu’il considère comme des dérives migratoires. Cet épisode soulève une question cruciale sur la liberté d’expression et sur le pouvoir de l’extrême gauche en France. Les mêmes magistrats ne s’étaient pas autosaisis lors des tribunes publiées dans Le Monde et Libération pour décriminaliser la pédophilie.
Et voilà ! En guise de liberté d’opinion, de liberté de parole, on nous cloue le bec si l’on ne respecte pas la pensée commune. Ah elle est devenue belle notre France. Plus les français se rebiffent, plus ils essaient de les faire taire.
Tiens, pourquoi donc la plus haute juridiction administrative n’a pas réagi aux propos du journaliste qui a osé parlé des « otages » palestiniens dans les geôles israéliennes ?
C’est tout de même très curieux ces braves gens qui se disent acharnés de la liberté d’ expression qui ne cessent jamais de censurer ce qui ne va pas dans leur sens. Leur sens ne tenant pas compte de la nature humaine, qui a ruiné tant de pays, tant de peuples, en promouvant comme l’a toujours fait la gauche la paresse comme l’idéal suprême. Quel est le pays socialisant ou communiste où le peuple vit bien ??? En dehors bien entendu des fonctionnaires les plus fayots ?
C’est tout de même très curieux ces braves gens qui se disent acharnés de la liberté d’ expression qui ne cessent jamais de censurer ce qui ne va pas dans leur sens. Leur sens qui a ruiné tant de pays, tant de peuples, en promouvant comme l’a toujours fait la gauche la paresse comme l’idéal suprême. Quel est le pays socialisant ou communiste où le peuple vit bien ??? En dehors bien entendu des fonctionnaires les plus fayots ?
Ben tiens quand ça dérange les islamo-gauchistes pourris jusqu’à l’os, y a plus de démocratie ! 🙁
sales traitres ces gauchos ! 🙁