Le préfet du Tarn n’hésitera pas à parler de groupes organisés de façon «paramilitaire». Le bilan est lourd: quatre gendarmes ont été grièvement blessés et de nombreux véhicules ont été détruits. La manifestation ressemblait plus à un guet-apens tendu aux gendarmes et policiers sur place par des mouvements radicalisés.
Des méthodes qui rappellent celles de mouvements terroristes
En effet, la ZAD (Zone à défendre, NDLR) était composée de familles avec enfants, de riverains, de membres d’associations écologiques locales. Mais, rapidement, elle a été rejointe par des collectifs de l’ultra-gauche qui ne voulaient que s’en prendre aux forces de l’ordre. Difficile pour celles-ci d’intervenir quand les «civils» sont utilisés comme boucliers humains. Les images parlent d’elles-même: on voit bien que de nombreux manifestants sont surpris par les premières attaques aux mortiers et ne savent pas où se cacher. Le préfet du Tarn, Michel Vilbois, reviendra sur France Info sur les évènements qui ont eu lieu samedi 8 juin. Il dénoncera des faits d’une «extrême violence de la part de 1.200 individus « radicaux », qui étaient venus pour casser, sans aucun lien avec le chantier de l’A69».
Il n’y a eu aucune interpellation à ce jour
Le préfet expliquera que «le bilan que l’on peut dresser, c’est d’abord une extrême violence de la part de ces individus, avec l’utilisation de tirs de mortier et de jets de projectiles avec une catapulte de cocktails Molotov». Et d’ajouter qu’«un véhicule de gendarmerie a été atteint par un cocktail Molotov à l’intérieur duquel il y avait deux personnes». De son propre aveu, aucun «manifestant» n’a été interpellé. «Il y a effectivement des équipes d’enquêteurs judiciaires qui ont pris un certain nombre de photos hier (samedi) pour pouvoir identifier ces individus violents», a indiqué le préfet à nos confrères de France Info. Les manifestants radicaux «se servent des manifestants pacifiques et de la cause pour s’équiper de manière extrêmement discrète, extrêmement organisée, en dissimulant jusqu’au dernier moment leurs armes et leurs effets de protection», expliquera-t-il. Et de conclure que «leur organisation de type paramilitaire leur permet encore d’avoir ce type d’équipement».
Tout va très bien m. le sinistre de la justice, ces trouillards de Français ont tous un sentiment d’insécurité n’est pas ? Faut il vous rappeler que les forces de l’ordre ne sont pas des esclaves qu’on envoie se faire tuer par des racailles,sans réagir.
En cas d’attaques des FDO, il faut répliquer avec des tirs à balles réelles !
Ils ne comprendront que cela et 10 ans de prison pour les interpellés…