C’est bien la séparation des pouvoirs, fondement essentiel de la République, qui a été mis en avant. En effet, il y a ici une confusion entre le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif quand des ministres en exercice siègent à l’Assemblée nationale. Ainsi, devant l’absence de nomination d’un Premier ministre, la cheffe de file des insoumis a mis sa menace à exécution en annonçant saisir le Conseil constitutionnel.
Une «violation de la séparation des pouvoirs»
Mathilde Panot, présidente du groupe La France insoumise à l’Assemblée nationale, a annoncé sur X jeudi dernier saisir le Conseil constitutionnel au nom de la «violation de la séparation des pouvoirs». Elle met en avant ici les ministres démissionnaires qui exercent en même temps la fonction de député. Pour rappel, 17 ministres du gouvernement démissionnaire, dont le Premier ministre Gabriel Attal, ont été élus députés lors des dernières élections législatives, cumulant ainsi les deux fonctions. Mathilde Panot estime que cette situation est «particulièrement inquiétante». La députée insoumise a demandé au Conseil constitutionnel de «clarifier ces statuts». Elle a aussi rappelé au président de cette institution, Laurent Fabius, que «le résultat du vote à la Présidence de l’Assemblée a basculé par les voix des 17 ministres démissionnaires alors que l’écart avec la candidature du Nouveau Front populaire n’était que de 13 voix».
Un «abus de pouvoir» pour l’élue LFI
La députée du Val-de-Marne juge que le gouvernement démissionnaire «abuse de ses pouvoirs et ne se limite pas à expédier les affaires courantes». Elle a ainsi comptabilisé 1.300 décrets et arrêtés pris depuis le 18 juillet dont certains «dépassant largement» les prérogatives «normales pour un gouvernement démissionnaire». Toujours dans son courrier adressé au président du Conseil constitutionnel, Mathilde Panot estime que cette situation «contrevient gravement aux fondements mêmes de notre régime politique». Et d’ajouter qu’il s’agit d’une «violation totale de la séparation des pouvoirs», garantie par l’article 16 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen. Autre problème soulevé par l’élue insoumise, et déjà mis en avant par des constitutionnalistes, à cause de cette situation de blocage institutionnel, «le Parlement est privé de la possibilité de renverser le gouvernement».
Cette femme est on ne peut plus détestable. Elle ne devrait même pas avoir droit de citer ! Elle est odieuse, méprisante, arrogante et surtout méchante, haineuse ! Quand lui fera-t-on un procès pour apologie de la haine des français et de l’émeute ? Si elle était d’un autre parti, il y a longtemps qu’elle serait emprisonnée. Le pouvoir en place de réagit pas plus que contre tous les méfaits qui se produisent dans le pays : des églises qui brûlent subitement, comme par enchantement, des attaques quotidiennes au couteau, des tirs, des policiers renversés par des individus refusant d’obtempérer, des cambriolages avec tortures et j’en passe et des meilleures …
Voilà ce qu’est devenue la France.
La tardigrade géante est bien déçue que personne ne parle d’elle, de ses approximations Historiques et de son tour de taille…