Les faits se sont produits non loin de la mairie de Grenoble. Néanmoins, les propos tenus par l’édile de la ville ont suscité de vives critiques à son encontre. Niant l’insécurité qui règne dans sa commune et expliquant, sur le plateau de BFMTV/RMC, lundi 9 septembre, que les évènements «ont été montés en épingle par les chaînes du groupe Bolloré», les réactions du monde politique et de la société civile ont été immédiates.
Le trafic de drogue au centre de la montée de la violence
L’élu grenoblois écologistes ne se représentera pas aux prochaines élections municipales. Néanmoins, les chiffres du ministère de l’Intérieur ne font que montrer l’explosion des crimes dans sa ville depuis qu’il est élu. Refusant d’armer sa police municipale, il expliquera qu’il ne veut pas prendre cette responsabilité. Marie-Hélène Thoraval, maire (DVD) de Romans-sur-Isère, assènera sur CNews: «On a l’impression qu’il découvre la situation». Minimisant les faits, n’y voyant presque qu’un «accident de la vie quotidienne», Éric Piolle s’est attiré les foudres de nombreux élus.
«C’est un maire qui n’est pas sécuritaire et autoritaire, il ne parle que de prévention », affirmera Christian Estrosi sur RMC. Jérôme Durain, sénateur socialiste et coprésident de la commission d’enquête sur l’impact du narcotrafic en France, prendra la défense de l’élu. «Je trouve que c’est un mauvais procès qu’on fait à Éric Piolle. On ne peut pas lui reprocher une méconnaissance du problème du trafic de drogue».
Un déni de réalité
Le maire de Grenoble estime qu’armer sa police municipale ne serait pas une solution face au trafic de drogue. Il expliquera: «Je ne vais pas demander à mes agents d’aller affronter des individus qui règlent leurs comptes avec des kalachnikovs. Au quotidien, ce sont surtout des petits délinquants, porteurs d’armes blanches auxquels les policiers municipaux peuvent être confrontés. C’est la raison pour laquelle nous les avons équipés de pistolets à impulsion électrique». Il ajoutera: «Je pense qu’il faudrait s’interroger sur le problème de santé publique que représente le développement massif de la consommation de cannabis dans notre pays et, à un degré moindre, aujourd’hui, celle de la cocaïne. Faire de la prévention, c’est aussi agir contre le trafic».
Ce maire d’opérette a surtout eu le culot, à travers ce drame, d’accuser les français d’être trop armés. Voyez-vous ça ! En d’autres termes, tous ces assassinats qui se produisent quotidiennement ne sont pas le fait de la racaille que M. Piolle et ses copains protègent et entretiennent, mais le fait des français. Voilà une belle façon de rejeter la faute sur les autres.
Honteux les déclarations de ce maire a l’image de sont partie des incapables
les premier fautifs sont les grenoblois pour voter pour ce genre de personnage qui défend les nouveaux habitants et commerçants des villes qui vendent la drogue et les armes le futur de la France quoi! reservez vite une place au cimetière, en fait c’est la place des Français va faloir les agrandir si ça continue, désolant !!
Complètement d’accord avec vous c’est bien fait pour les grenoblois qui l’ont élu…..
Alors que tout le monde sait que si on veut arrêter le trafic de drogues, il faudrait envoyer la Légion dans chaque cité avec chars, armes lourdes, et tout le matériel, ce brave homme en est lui aussi encore à « l’éducation bienveillante » qui depuis quarante ans nous produit des capricieux imbéciles et paresseux à foison.