Syndicat de la magistrature à la Fête de l'Huma, 13 septembre 2024 ©Alamy
Si dans certaines universités, comme à Grenoble ou à Sciences Po Paris, des étudiants, surtout des étudiantes, issus des syndicats de gauche, ont arraché les portraits de la jeune fille lui rendant hommage, le Syndicat de la magistrature va dénoncer une «surenchère xénophobe».
La magistrature d’extrême gauche regrette «la concentration du débat sur la question de l’immigration»
Alors que de très nombreuses erreurs administratives et judiciaires sont à l’origine de la libération de Taha Oualidat, le meurtrier présumé de la jeune Philippine est un marocain, déjà condamné pour viol. La demande d’exécution de l’OQTF n’a donc rien à voir avec sa nationalité mais bien avec le fait qu’il s’agisse d’un étranger, en situation irrégulière sur le territoire, ayant commis un crime, et donc expulsable de France. Il aurait pu être Argentin, Canadien, Japonais, peu importe. Néanmoins, dans un communiqué officiel publié le 26 septembre, le Syndicat de la magistrature dénonce l’emballement politico-médiatique autour du meurtre de la jeune fille. Faut-il rappeler que Philippine a été violée, mutilée, tuée et enterrée dans le Bois de Boulogne à Paris?
Une crainte que les juges soient responsables de leurs actes
«Depuis hier et l’hyperfocalisation des médias sur un fait criminel visant une femme, révoltant et d’une gravité exceptionnelle, les détournements politiques, l’activation d’une rhétorique xénophobe et les classiques procès en laxisme de la justice se sont appuyés sur les propos du ministre de l’Intérieur qui, la veille, avait dénoncé l’existence d’un « véritable droit à l’inexécution des peines »», peut-on lire dans le communiqué. Et d’ajouter que «penser le crime à travers la question de l’immigration focalise le débat sur la question de l’expulsion des personnes étrangères en situation irrégulière et empêche de réfléchir aux solutions pour une peine juste et efficace». Toutefois, c’est bien l’idée qui se développe: devant les multiples erreurs des juges dans ce dossier, les rendre responsables de leurs décisions. C’est bien ce qui inquiète le syndicat d’extrême gauche.
Le syndicat de la magistrature est extrême gauche, plus proche des délinquants que de leurs victimes, surtout si elles sont françaises et blanches.
ce ne sont pas des juges mais des complices de ces délinquants qu’ils élargissent ,sursis à répétition après moultes comparutions, soi disant rappels à l’ordre, liberations anticipées, farce de contrôles judicaires etc condamnant ainsi une seconde fois les victimes pour lesquelles cette clique n’a aucune considération ils prétendent rendre une justice AU NOM DU PEUPLE mais le font au profit de ces cancrelas racistes et anarchistes de l’extreme gauche qui gangrenent notre pays. Ces pseudos juges pourris jusqu’à la moelle il faudrait les révoquer siné dié ou les muter aux iles Kerguelen , comme cela ils pourraient juger les « infidélités » commises par les pingouins
Il y a aussi la Terre à Delits, encore plus au Sud…