La démission de Philippe Carli, président du groupe de presse Ebra, a secoué le monde médiatique français. Après avoir été épinglé par Mediapart pour avoir «aimé» des contenus politique de droite, notamment ceux de l’eurodéputée Sarah Knafo ou pour «d’autres prises de position (…) réclamant plus de fermeté contre les étrangers», l’homme d’affaires a cédé sous la pression. Le Crédit Mutuel, unique actionnaire du groupe, a pris acte de sa démission, saluant une décision «responsable» censée permettre aux rédactions de retrouver leur sérénité dans un contexte économique difficile. Pourtant, cette démission soulève une question plus large: celle de l’influence grandissante d’une dictature médiatique de gauche, qui impose ses propres critères sur ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas.
Philippe Carli était profondément engagé pour l’indépendance des journalistes
Il était à la tête du groupe Ebra depuis 2017 et a toujours insisté sur son engagement pour l’indépendance et le pluralisme des titres qu’il dirige. Il s’agit notamment du Dauphiné Libéré, Le Progrès, ou L’Est Républicain. Pourtant, ses «likes» sur LinkedIn, espionnés par Mediapart, ont été perçus comme une prise de position politique non seulement en faveur de figures de droite, mais aussi comme un défi aux codes non écrits de l’univers médiatique français. L’onde de choc a été immédiate. Des journalistes des Dernières Nouvelles d’Alsace ont fait part de leur «consternation» et de leur «colère», dénonçant le discrédit causé par les prises de position publiques de leur président. Des responsables syndicaux, notamment de la Filpac-CGT, ont également exigé des conséquences de la part du Crédit Mutuel, en insistant sur les valeurs de «liberté, solidarité, de démocratie et d’indépendance» censées caractériser la banque mutualiste. Leur position est claire: la politique éditoriale du groupe de presse ne doit en aucun cas être influencée par des considérations politiques personnelles. Ce qui pourtant n’a jamais été le cas.
L’existence d’une pression idéologique forte au sein des médias français
Ceux qui s’écartent de la ligne progressiste, gauche ou extrême gauche représentée par Le Monde ou Mediapart, sont systématiquement ostracisés, voire contraints de se retirer, comme l’a fait Philippe Carli. Cette pression est parfois perçue comme une forme de «dictature des médias de gauche», où les opinions divergentes sont rejetées, et où les journalistes doivent se conformer à un cadre idéologique strict de gauche. Philippe Carli, après avoir exprimé son soutien à des figures politiques extérieures au «cercle» traditionnel des médias français, a dû présenter des excuses publiques. Cependant, pour beaucoup, son «mea culpa» n’était pas suffisant, ne répondant pas aux véritables enjeux: la liberté d’expression et l’indépendance des médias face à une pression idéologique croissante.
Je suis d’accord avec B Ciochetti et Zétar. La presse n’est plus libre, en France, elle est soumise à la bien pensance de gauche qui s’attribue le droit de décider ce qui est permis ou non. Cela ne vous rappelle pas la Pravda soviétique ? Nous en sommes déjà là et depuis un certain temps ! Ce sont les médiats qui décident de ce que les gens doivent dire ou penser, sur ordre de ceux qui se sont emparés du pouvoir en évinçant leurs opposants. Le fameux « cordon sanitaire » pour faire « barrage » !!!
Et on appelle encore cela la démocratie ? Celle de gauche n’est pas la même que celle de droite, visiblement ! Mais à part ça ce sont les autres qui sont extrêmes et fachos …. Pas la même définition non plus ou pas le même dictionnaire, semble-t-il !
les journaleux islamo-gauchistes ont encore frappé !
cette presse ne mérite pas d’être lue !
« La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres » est un célèbre adage qui signifie, en général, qu’un individu doit pouvoir faire l’exercice de sa liberté sans que celui-ci limite la liberté des autres ou soit nuisible aux autres !
A MEDITER pour beaucoup d’entre nous ! Politiques.. Journalistes..
Philippe Carli a eu tort de démissionner et encore moins de s’excuser
Ils sont marrants ces amis de la Liberté, ces ennemis de la censure, qui empêchent de parler ceux qui ne croient pas à leur religion de plus en plus recroquevillée sur elle même. Ce n’est plus un parti c’est vraiment une secte, et ceux qui ne croient pas à leurs couillonnades il faut les faire taire. Comme en plus ils sont paresseux, il faut piller ceux qui réussissent. Ah les réunions de fonctionnaires au bistro de midi : « combien il te reste de jours maladie ? combien de jours « enfant malade » ? Combien de jours allergie ? combien de jours règles douloureuses ? Et le couillon doit travailler de plus en plus dur pour entretenir ces feignasses !
La dictature stalinienne de la presse de gauche et/ou extrême (de lfi = le fion islamiste) est flagrante !
Plus de déni que du factuel ! 🙁