L’écrivain franco-algérien a été arrêté à l’aéroport d’Alger le 16 novembre dernier. Depuis, très peu de nouvelles ont été données de l’homme âgé de 75 ans. Très critique envers le régime tenu par le FLN, il n’avait pas peur de se rendre régulièrement dans son pays natal. Le pouvoir algérien va justifier son placement en détention arguant, qu’en vertu de l’article 87 bis du Code pénal algérien, l’écrivain serait donc devenu un «terroriste». Il aurait ainsi porté atteinte, à «la sécurité de l’État, à l’unité nationale, à l’intégrité territoriale et même au fonctionnement normal des institutions». Ici, la gauche ne s’est pas contentée de ce silence qui lui est propre quand un pays étranger attaque la France ou les Français. Mais elle s’est portée en support du régime algérien et a soutenu, à demi-mot, l’arrestation de Boualem Sansal.
Une indignation à géométrie variable
Sandrine Rousseau était l’invitée de Jean-Jacques Bourdin sur Sud Radio, mardi 10 décembre. Interrogée sur le sort de l’écrivain franco-algérien, la députée écologiste a d’abord dénoncé l’arrestation et l’emprisonnement de Boualem Sansal. Les charges retenues contre lui par le parquet d’Alger lui font encourir la prison à perpétuité. Au micro de notre confrère, elle commencera par expliquer qu’«il est scandaleux qu’il soit emprisonné, il est scandaleux que son avocat n’ait pas le droit d’entrer en Algérie, il n’y a pas de doute là-dessus». Cependant, cette «indignation» sera très rapidement suivie d’un «oui, mais…».
Selon Sandrine Rousseau, Boualem Sansal est «un suprémaciste»
Comme Kamel Daoud, qui a reçu un second prix Goncourt pour son livre Houris, il ne faut pas critiquer l’islam, l’Algérie et encore moins défendre la francophonie. La députée de Paris va ainsi reprendre son entretien en exposant son regard sur l’emprisonnement de Boualem Sansal. «Je voudrais aussi poser que les propos et les positions tenus (par l’écrivain, NDLR) sont des propos relevant de l’extrême droite». Et d’ajouter: «Il n’a pas à être en prison, d’aucune manière, il doit être défendu, c’est un droit humain fondamental. Pour autant, rappelons quand même que ce n’est pas un ange dans ses positions». Elle ira jusqu’à dire que les propos de Sansal «relèvent d’une forme de suprémacisme». Et de conclure: «Le suprémacisme, c’est quand même l’idée qu’il y a des civilisations qui sont supérieures aux autres. C’est précisément ce qui va nous emmener dans le chaos. L’augmentation de la popularité de ces thèses-là, que ce soit aux États-Unis, que ce soit en partie en France ou ailleurs dans le monde, nous conduit inéluctablement à l’affrontement».
On peut se demander comment de braves couillons, payant déjà trop d’impôts ont eu l’idée saugrenue d’élire cette bonne femme. Elle n’en rate pas une ! Souvenez vous qu’elle avait déjà la solution contre le déficit de la France (causé par elle et ses semblables depuis une quarantaine d’années) tout simplement confisquer les comptes épargne et autres comptes de réserve, de la totalité des Français.
Décidément, il lui manque une case à celle-ci. Il ne lui viendra pas à l’idée une minute que l’incongruité dans la politique de notre pays, c’est sans doute elle et ses copains ?
Quelle gourde ! Mais enfin, faut pas rêver. Elle n’avait pas de cerveau avant alors pourquoi en aurait-elle un maintenant ?
Bonjour, oui il parait qu’elle était absente lors de la distribution d’intelligence à la naissance.
Connasse !
des rousseau… un roussal. 🙂
Aucune réflexion, aucune compétence, une vraie cassos !