Après Coquerel, Taha Bouhafs, Adrien Quatennens et maintenant le coprésident d’EELV à l’Assemblée, la gauche semble être empêtrée dans les problèmes de violences à l’encontre des femmes.
On se rappelle que Rousseau et Bayou s’étaient étripés lors des primaires écologistes, ce dernier ayant soutenu Yannick Jadot et n’avait pas de mots assez durs à l’encontre de sa rivale qui parlait de tout sauf d’écologie. C’est certainement pourquoi, invitée de l’émission «C à vous» sur France 5 lundi soir pour évoquer le cas Quatennens, Sandrine Rousseau avait déjà dû se prononcer sur le secrétaire national d’EELV, et ne l’avait pas épargné, faisant état de «comportements de nature à briser la santé morale des femmes».
Quand on lui demande si une enquête judiciaire a été ouverte, sa réponse étonne. S’il n’y a rien du côté de la justice, elle attend beaucoup de «l’enquête journalistique»! Elle a ainsi expliqué avoir «reçu longuement» chez elle une ex-compagne «très déprimée» de Julien Bayou, qui avait ensuite «fait une tentative de suicide tellement elle allait mal». Rousseau a assuré «qu’elles sont manifestement plusieurs» à être concernées par ces comportements, évoquant une «enquête journalistique en cours» sans plus de précisions.
Une enquête interne à EELV
La députée Sandra Regol indique à l’AFP que «la cellule d’enquête et de sanction contre les violences sexuelles et sexistes a été saisie cet été et fait son travail. Chez les écologistes, on n’évite aucune question », souhaitant ainsi se démarquer des Insoumis. Le groupe écologiste à l’Assemblée nationale a dû consacrer une large partie de sa réunion de rentrée à huis clos, mardi 20 septembre, à discuter du cas Bayou.
Le parti écologiste a publié un communiqué pour indiquer que le signalement a été reçu en juillet. Et de conclure, alors que «plusieurs personnes se sont publiquement inquiétées de la lenteur de l’enquête et d’une possible influence politique sur cette cellule» : EELV veut assurer de son soutien «à l’égard des victimes des violences sexistes et sexuelles». Cette cellule «d’enquête et de sanction doit continuer son travail en toute indépendance et sérénité». Accessoirement, on remarquera la petite phrase de Clémentine Autain, très concernée par les violences faites aux femmes quand il ne s’agit pas de la Nupes, qui n’hésitera pas à dire: «Je ne sais pas si (la potentielle victime) a envie que toute la France sache qu’elle a fait une tentative de suicide».
Eh ben dis-donc, des « violences » y en a que pour les guignols de ce bord là !!! tiens comme c’est bizarre c’est pas le bord de l’abruti en chef
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