Ainsi, dimanche 23 avril, un échange téléphonique entre les deux présidents a permis d’évoquer «les relations bilatérales et les moyens de les renforcer, y compris la visite d’État du président de la République, en France, qu’ils ont convenu d’organiser la deuxième moitié du mois de juin».
Macron continue d’ignorer les fondements du pouvoir algérien
Le président Tebboune, comme tous ses prédécesseurs, appartiennent au FLN algérien. Or, celui-ci n’existe que dans son rejet de la France et la corruption qui l’a emmenée avec lui. C’est pour cette raison qu’une «paix durable» avec l’Algérie n’est pas envisageable. Celle-ci forcerait le pouvoir a renié ses fondements et à dénoncer la corruption qui règne au sein du pouvoir. Henri Guaino, ancien conseiller politique de Nicolas Sarkozy, dira dans Le Point: «la chose que j’ai apprise avec le pouvoir algérien, c’est qu’on ne peut pas s’y fier.». Encore récemment, une énième crise diplomatique avait éclaté entre les deux pays lors de l’exfiltration vers la France d’une militante pro-démocratie franco-algérienne.
À l’occasion du déplacement de Macron à Alger en août dernier, les deux pays avaient entamé un réchauffement de leur relation. Il est toujours question de la présence française en Algérie à partir de 1830 et surtout, de la guerre qui, officiellement s’est déroulée de 1954 à 1962 bien que les attentats de Sétif aient eu lieu en 1945; le FLN voulait alors profiter de la faiblesse de l’armée française après la Seconde Guerre mondiale pour prendre le pouvoir. Depuis la fin de la guerre d’Algérie, de très nombreuses tentatives d’apaisement dans les relations franco-algériennes ont eu lieu sans véritablement de succès.
L’entourage de Macron le presse de renouer avec le Maroc
Quand tous les responsables politiques, de droite comme de gauche, expliquent au chef de l’État l’inutilité de la mobilisation de telles forces pour établir des relations pérennes avec l’Algérie, ils aimeraient plutôt que le président de la République calme les débats avec son allié marocain. Comme souvent avec Macron, ses proches conseillers parlent d’une «lubie» avec l’Algérie, alors que cette dernière souhaite rejoindre les BRICS (groupement du Brésil, de la Russie, de l’Inde, de la Chine et de l’Afrique du Sud). Pourtant, l’allié et l’ami de la France est le Maroc et, de l’aveu de tous, il est grand temps de renouer le dialogue avec le roi Mohammed VI.
Ça fait 60 ans qu’on nous pourrit la vie avec l’Algerie ( et j’ai la correction de mettre un À majuscule à ce pays).
Chacun désormais chez soi.
Que les algériens qui profitent des avantages en vivant chez nous respectent les lois de nos institutions ou fichent le camp !
A bon entendeur.
Qu’ils gardent leur hymne de m… et leurs gaz.