La situation était devenue hors de contrôle. Les dealers voulaient cet emplacement pour leur trafic et harcelaient le personnel de la médiathèque. De plus, un journaliste de M6, venu faire un reportage sur place, a été violemment agressé mardi 6 juin.
Un quartier bouclé… par les dealers
Comme de nombreuses villes de France, Nîmes subit la loi des délinquants. Ainsi, des quartiers entiers passent sous le contrôle des trafiquants de drogue qui payent des enfants encore en primaire pour faire le guet. Dans un communiqué, le maire explique que «depuis décembre dernier, des dealers exercent une pression de plus en plus forte sur le quartier avec l’instauration de “barricades/checkpoints” pour encadrer leur commerce illicite. Ainsi, depuis plusieurs mois, les 18 agents du centre culturel sont victimes de menaces et d’agressions verbales au vu et au su de tous». Cécile Gensac, procureure de Nîmes, a ainsi annoncé avoir ouvert dès mardi une «enquête préliminaire» sur les faits concernant la médiathèque et une «enquête de flagrance» concernant l’agression dont le journaliste de M6 a été victime.
L’élu souligne aussi le manque de moyens et la sourde oreille de l’État. Il demande ainsi à Gérald Darmanin «l’affectation de façon quasi-permanente d’une Unité de Force Mobile» à Pissevin. Il explique aussi dans son communiqué comment la situation a dégénéré. Il dira: «Aujourd’hui [mardi 6 juin, NDLR], ils font même l’objet de contrôles et de palpations en pleine rue avant d’accéder à leur poste de travail. Un nouveau palier a été franchi puisque les trafiquants ont pénétré dans le bâtiment, allant jusqu’à filmer et photographier le personnel, et accédant au toit pour surveiller les alentours et prévenir de l’arrivée des forces de police».
Pour la représentante de l’État, des mesures sont prises
Marie-Françoise Lecaillon, préfète du Gard, a indiqué que ces violences «interviennent dans un contexte de guerre de territoire» et «se développent en réaction aux opérations de police et au démarrage des ambitieux travaux de renouvellement urbain». Elle a ajouté qu’il y a une intensification de la présence de la police nationale accompagnée d’une «montée en puissance dans la perspective de la réouverture prochaine de la médiathèque». Pourtant, sur CNews, le témoignage des habitants est tout autre. Ils se plaignent de l’absence de présence policière et s’inquiètent de voir les trafiquants dicter leurs lois.
On laisse faire et voila ce qui arrive, des quartiers entiers livrés aux dealers. Et c’est eux qui font la lois. Il suffirait d’arrêter les personnes qui vont se ravitailler là-bas et envoyer l’armée pour remettre de l’ordre. Réexpédier toute cette raclure dans leur pays avec la famille au complet. Mais le gouvernement Français est tellement froussard qu’il ne fera rien, comme d’habitude.
Quand aux parents des « petits » qui font le guet, eux aussi mérite une sanction exemplaire.
La France aux Français et les autres dehors.
Si l’on coffrait aussi les clients qui viennent acheter leur doses comme pour la prostitution, le trafic s’arrêterait ou se passerait ailleurs
Pas de clients pas de trafic étant donné que la consommation est illégale ,on sanctionne .
Si les politiques faisaient leur « boulot » Police et gendarmerie auraient le droit de ramener l’ordre, mais les bulletins de vote, comptent pour beaucoup, enfin plus que la tranquillité des Français. Il faut envoyer les gendarmes avec pour mission de rétablir l’ordre, carte blanche sur les moyens utilisés. Biensur il y aura des réactions de la part des délinquants, mais une 2è vague devrait ramener le calme. Laisser faire encourage les délinquants à continuer.
Un philosophe disait: « Mon dieu, protégez moi de mes amis, mes ennemis je m’en charge! »