On se souvient que l’affaire avait éclaté grâce à des enquêtes du journal Marianne et de France 2 qui ont révélé que des responsables d’associations se seraient enrichies avec l’argent de ce fonds. Or, la distribution des fonds, des subventions, ici il était doté de 2,5 millions d’euros, a été présidée par le secrétariat d’État à la Citoyenneté dont Schiappa était responsable à l’époque. Choisissant une posture consistant à dire qu’elle ne savait rien des allocations de ce fonds, elle n’a pas su convaincre les sénateurs.
Aucun argument n’a convaincu la commission, bien au contraire…
Alors que la secrétaire d’État était auditionnée au Sénat, Mohamed Sifaoui, le président de l’association qui a obtenu le plus de subventions dans le cadre du fonds Marianne, était entendu par la police. Il y a eu plusieurs perquisitions qui se sont déroulées hier à son domicile ainsi qu’au domicile de Christian Gravel, le préfet chargé de la gestion de ce fonds. La commission d’enquête est présidée par Claude Raynal, sénateur socialiste. Tandis que le rapporteur est Jean-François Husson, sénateur LR. Si les questions étaient précises, les réponses l’étaient beaucoup moins. Il s’agissait de savoir dans quelle mesure Marlène Schiappa était intervenue et était impliquée dans la distribution de l’argent de ce fonds. Il a été longtemps question de son intervention en ce qui concerne la principale association bénéficiaire présidée par Mohamed Sifaoui.
Pourtant, Schiappa va nier toute accusation en bloc à commencer par le processus de sélection des associations bénéficiaires. Elle a affirmé avec beaucoup d’assurance que ça ne remontait pas jusqu’à elle. Jean-François Husson, le rapporteur, s’est étonné, avec un peu d’ironie, qu’elle ne soit jamais à l’origine de la décision. On pourrait résumer tout le discours des sénateurs par des questions commençant par: «Vous ne pouviez pas ignorer que…». Et toute la réponse de Marlène Schiappa était de dire: «Je peux vous assurer que ça ne remontait pas jusqu’à moi».
Macron va-t-il profiter du prochain remaniement pour sortir Shiappa?
C’est, en tous cas, le souhait de son entourage et de bon nombre de ministres selon une source proche de l’Élysée. Au-delà qu’elle aime beaucoup trop les médias pour ne parler que d’elle selon ses collègues, la Première ministre ne digère toujours pas la couverture de Playboy. De plus, l’affaire Marianne entache l’action de la secrétaire d’État, son bilan mais surtout sa crédibilité.
Marlène Schiappa était trop occupée à écrire ses bouquins et à se pavaner avec des influenceuses au prétexte de la condition des femmes, elle ne pouvait pas être partout. Elle a la paye du ministre, le prestige de la fonction, les cocktails et réceptions tous frais payés pour entretenir sa petite cours mais en aucun cas la responsabilité de ce qui se passe dans ce bazard ! Faut pas déconner ! Ella n’a même pas la décence de démissionner mais aussi la soupe est si bonne !
c’est bien la moindre des choses de savoir ce qu’il se passe dans son service . iL NE SUFFIT PAS DE PRENDRE DES D2CISIONS DANS UN BUREAU ?IL FAUT ALLER VOIR SUR LE TERRAIN SI CELA SUIT ET SI LES EFFETS ESCOMPT2S SONT Là OU SI NON SAVOIR OU CELA PECHE ; mAIS AUJOURD4HUI OU LA REGLE EST DE FAIRE 80% DU JOB EN 20% DU TEMPS , on est loin de l’efficacité attendue .
Est ce que tous les ministres, les députés et sénateurs sont au courant de tout et entièrement tout de ce qui se passe dans les instances dont ils en ont la charge ?
Il faut arrêter ces hypocrisie. Leur seul but c’est d’atteindre le gouvernement et semer l’opprobre sur des élus qui ne sont pas de leur bord.
Et pourquoi elle s’interdirais d’être sur Play-boy. Ne serait’ elle pas assez belle pour y paraître ? Jalousie malsaine. Il y a bien des élus qui paraissent dans des émissions plus que méprisables.