Ayant reconnu le maire de Toulouse, certains activistes du groupuscule écologiste d’extrême-gauche sont sortis des rangs pour agresser physiquement les élus toulousains. L’un des élus de l’équipe municipale a été gravement touché. Suite à cela, Jean-Luc Moudenc a décidé de porter plainte contre leurs agresseurs.
L’annonce de la dissolution du mouvement par Darmanin ne passe pas chez les militants
Dans les faits, mercredi soir, le maire divers droite et l’équipe municipale de Toulouse se baladaient dans le quartier de Saint-Aubin à Toulouse à l’occasion de la fête de la musique. Dans le même temps, de nombreux individus, qui manifestaient contre la dissolution du collectif radical écologiste Les Soulèvements de la Terre, les ont reconnus dans la foule et ont voulu agresser l’équipe municipale en plein centre-ville. Jean-Luc Moudenc, a indiqué dans un communiqué avoir été pris à partie par une centaine de personnes dont certaines portant des banderoles des SLT, mais aussi des «gens masqués de l’ultra gauche». Ils ont alors jeté sur lui des «projectiles» trouvés dans des poubelles, blessant ainsi Nina Ochoa, élue toulousaine en charge de la vie étudiante.
Cinq hommes interpellés
Restant sereine sur cette attaque, elle indiquera que «quinze jours d’incapacité totale de travail» lui ont été délivrés. Et d’ajouter que «nous avions compris assez vite ce qui était en train de se passer. La situation s’est vite dégradée», explique celle qui siège aussi au sein de Toulouse Métropole. Malgré les insultes comme «Moudenc à la Garonne» ou les jets de «mobilier urbain», la jeune femme, qui a été touchée à la nuque et admise à l’hôpital dans la soirée, ne cédera pas à la panique. Nina Ochoa dira: «je suis sereine, il n’y a pas d’inquiétude». Elle était déjà au travail dès jeudi 22 juin. Le maire de Toulouse et ses collaborateurs veulent «collectivement et individuellement» déposer plainte. Pour l’instant, selon La Dépêche du Midi, cinq personnes, âgées entre 30 ans et 18 ans, ont été interpellées et placées en garde à vue.
C’est cela la liberté d’opinion pour les cocos et les pastèques ? Dissolution sans distinction, de toutes associations violentes ou prônant la violence.
On ne règle rien par la violence. C’est ce que m’a appris ma »longue »vie.
Je ne reconnais plus mon PAYS où pas une journée ne se passe sans qu’un fait de violence »gratuite » ne soit signalé. J’ai connu une France où les débats d’idées donnaient lieu à des affrontements verbaux, rarement des »combats ou attaques » de rue . Les URNES sont faites pour faire connaître ses opinions, le verdict rendu par elles que l’on soit d’accord ou non nous laisse d’autres moyens de faire progresser des idées : pas la force aveugle d’extrémistes qui s’en prennent à ce que représentent les élus légitimes par les élections quelles que soient leur appartenance politique.
Je suis ravie de faire parti des VIEUX car je me refuse à imaginer vivre encore quelques années dans un tel climat de haine et d’agression envers qui que ce soit.
Des gens de droite agressés par des gens de gauche ? Normal. Je ne suis pas pour la violence mais quand on voit le comportement facho des types de droite, on a quand même envie de leur mettre des baffes.
pov’mec
Bien parlé !
Je m’adressais à AL168
1000 fois bravo a toi
braint est trop nul
ça alors, un intellectuel… pov’type est un euphémisme…
Ces éco-terroristes bénéficient du privilège rouge dans les médias et devant la justice !
Que la justice fasse son travail si elle peut!!