C’est une polémique qui enfle… Les propos du ministre de la justice en marge d’une conférence de presse à Aurillac font couler de l’encre ces dernières 24h. Les rédactions BFM TV et tTF1 ont condamné les propos d’Éric Dupond-Moretti qu’ils ont qualifiés de sexistes.
« Personne n’était devant moi les seins nus, hein. Il ne faisait pas assez chaud ? »
Lundi 28 août, Éric Dupond-Moretti s’est rendu à Aurillac en soutien au personnel du tribunal. En effet, celuii-ci a été l’objet de dégradations, samedi 26 août, lors d’une manifestation. Cette manifestation entendait dénoncer la verbalisation dont a fait l’objet une jeune fille, quelques jours plus tôt pour s’être promenée seins nus dans les rues de la ville, alors que la canicule battait son plein. Expliquant qu’elle faisait « comme la moitié des hommes » autour d’elle, elle a été verbalisée pour « exhibition sexuelle ».
Aurillac recevait la semaine dernière le Festival International des Arts de Rue, un cortège s’est formé le samedi pour demander l’égalité devant le droit d’être torse nu dans la rue et dénoncer la verbalisation de la jeune fille. C’est en marge de cette manifestation que les dégradations du tribunal ont eu lieu. Le ministre a donc tenu une conférence de presse, lundi 28 aout. Caméras et micros fermés après l’opération de communication, le ministre aurait déclaré aux journalistes présents : « Je constate que parmi les journalistes femmes qui m’ont interrogé, personne n’était devant moi les seins nus, hein. Il ne faisait pas assez chaud ? »
Des propos « sortis de leur contexte »
Un communiqué publié le mardi 29 août par la Société des Journalistes de BFM TV dénonce les propos du ministre, son entourage a pour sa part démenti des propos « sortis de leur contexte : « Le ministre regrette qu’alors qu’un tribunal a failli brûler du sol au plafond et que depuis sa nomination, sa détermination pour lutter contre tout type de violences sexuelles et sexistes est totale, des propos soient sortis de leur contexte pour lui prêter des intentions qui ne sont pas les siennes »
En attendent, c’est encore une greluche qui a montré ses seins en pleine rue qui a déclenché la polémique. Cette nana avait trop chaud et de ce fait a sorti ses mamelles devant tout le monde.
La prochaine, ce sera quoi, elle a trop chaud au cul et ne portera pas de culotte. Voila ou on en est. Mais le pire est qu’une bande de petit con en a profité de la marche pour foutre le bordel et bruler un tribunal. Je dis des petits cons car je suis persuadé qu’ils n’ont pas 20 ans.
Ne parlons pas de la presse qui raconte ce que les lecteurs veulent lire et un ministre qui essaye de faire de l’humour à deux balles.
A l’avenir, faudra s’attendre au pire.
Greluche…mamelles….voilà où on en est
…piyouf!
piyouf ???????? pourriez traduire svp
Les journalistes de BFM et TF1 s’émeuvent ! C’est ce même BFM qui a osé insinuer que les parents du petit Emile étaient d’extrême droite par ce qu’ils ont foutu dehors leurs « journalistes » en leur préférant un média catholique pour s’exprimer et indiquer qu’ils s’en remettaient à dieu pour que l’on retrouve leur fils ! ce journalisme de caniveau est à vomir et leur féminisme à deux balles pue la recherche de Buzz. Heureusement ils ne sont capable de créer que des flop. Je rêve d’un boycott de ces médias gaucho progressistes.
bah dites donc , ca c’est du journalisme , du vrai ….. nan j’déconne . C’est navrant de voir le peu de qualité des merdias de ces dernières années ( et pire depuis 2017 😉 )
De toute façon, quand on voit la soit-disant « pudeur » de la femme….! Ce n’est plus qu’une légende ça!
non mais vraiment , vous êtes grave ….. à chaque fois que vous intervenez , c’est en mode ouin ouin , petit rageux ……. vous n’en avez pas marre ? Ca vous dirait pas de mettre autant d’énergie dans des actions constructives ( pour vous surtout ! )
Puis encore une fois , cette façon de taper à coté du sujet , et d’en faire une généralité , c’est navrant ……
Encore une tempête dans un verre d’eau !!
Bonjour, je ne suis pas fan du ministre, mais les journalistes devraient faire leur vrai métier.
En toute objectivité, si ils connaissent ce mot.