Le transsexuel est non-opéré et a donc conservé ses attributs masculins. Si le professionnel de santé s’est excusé si ces mots ont pu «heurté» la personne concernée, il assume totalement le fond de ses propos. Saisi de cette problématique, l’Ordre des médecins soutient la démarche du gynécologue et prône que certains se spécialisent pour pouvoir suivre ces patients.
Le gynécologue a été choisi par hasard sur Doctolib
En effet, «Sandrine», le jeune transsexuel, est bien née homme mais a entamé sa transition il y a trois ans. Le 29 août dernier, souffrant depuis quelques jours de douleurs à la poitrine, elle décide de consulter un spécialiste. Or, le seul qu’elle trouve capable de traiter un cas comme le sien est à trois heures de route de son domicile. Ainsi, avec son compagnon, elle décide de prendre un rendez-vous en choisissant un médecin «par hasard» sur la plateforme Doctolib. Le couple se retrouve ainsi à la Polyclinique Pau Pyrénées dans le bureau du Dr Victor Acharian.
Toutefois, arrivée à l’accueil, la secrétaire lui fait savoir que le gynécologue ne la recevra pas car «il ne s’occupe pas de ça» explique Sandrine. Si cette dernière indique avoir été «sous le choc», elle dira que «c’est la première fois que je subissais une telle transphobie, c’était hyperviolent». Pourtant, la secrétaire assure lui avoir dit seulement que le Dr Acharian ne prenait pas en charge les hommes. C’est son conjoint, Antoine, qui a publié cette histoire sur les réseaux sociaux alors que Sandrine voulait passer à autre chose. À son commentaire laissé sur Google, le gynécologue répondra qu’il s’occupe «des vraies femmes» et qu’il n’a «aucune compétence pour [s]’occuper des HOMMES, même s’ils se sont rasé la barbe et viennent dire à ma secrétaire qu’ils sont devenus femmes».
Il s’agit de sa responsabilité médicale
Le médecin est alors accusé de «transphobie» et devient la cible des réseaux sociaux. Toutefois, il expliquera n’être ni homophobe ni transphobe mais «c’est juste que je serai incapable d’examiner une personne trans, de la conseiller, je n’ai pas cette compétence». Sur le fond, il ne regrette rien: «Scientifiquement, un homme est un homme, une femme est une femme. Même s’il se considère comme une femme, je dis que c’est un homme». Le gynécologue, soutenu par ses confrères, compte porter plainte pour «agression verbale» et «diffamation».
il fallait le diriger vers un vétérinaire !!! ils sont spécialiste des NAC
Ha ha!! pas mal!