Toutefois, dès leur arrivée, des membres des Antifas, groupuscule d’extrême-gauche, s’en est pris violemment aux femmes présentes dans le cortège. Celles-ci n’auront aucun soutien des organisateurs de la manifestation préférant voir les manifestants pro-Hamas défiler à leur côté. Comme pour les femmes iraniennes, les «collectifs féministes» resteront silencieux.
La police leur a demandé de se mettre en queue de manifestation et de prendre leurs distances
Sarah Aizenman, l’organisatrice du cortège de soutien aux femmes israéliennes victimes des viols du Hamas, a déclaré «Voilà où on en est». Elle expliquera aux journalistes du Figaro que «dix minutes après notre arrivée, on a été agressés par des antifas. À ce moment, il y a quatre cars de CRS qui nous ont été dédiés, qui nous parqués jusqu’à la Nation». Cependant, elle précisera bien que les forces de l’ordre étaient là pour les protéger et non pas pour les faire quitter les lieux. Pour rester, il faudra donc que le cortège soit contraint d’avancer en s’arrêtant tous les 20 mètres, avec une obligation: laisser partir l’intégralité du cortège et partir en dernier, et ceci pour des raisons de sécurité.
Les collectifs «féministes» assument leur prise de position
Sarah Aizenman confiera au micro de CNews que «Nous, on considérait que nos intérêts convergeaient, on n’avait qu’une ambition, c’était d’atteindre la place de la République, et de dénoncer les violences faites à toutes les femmes». Elle relève alors une «indignation sélective» de la part des organisations féministes concernant les violences sexuelles commises à l’encontre des israéliennes par le Hamas et de s’interroger: «Est-ce que le Hamas aurait un permis de violer ?». Une réponse indirecte viendra de Marlène Schiappa dans une récente interview au «Club Le Figaro Idées» du 16 novembre, où elle a rappelé que, lorsqu’elle a voulu faire passer la loi sur le harcèlement de rue, ce sont les mêmes collectifs qui ont été ses plus grands opposants expliquant que ce texte allait stigmatiser «les hommes racisés».
Bravo les femmes. Bien entendu, vous avez encore été trahis par cette sinistre gauche islamiste, pour pas changer. Mais ça, ne vous inquiétez pas, ça se règlera dans le temps. Ne lâchez pas prise.