Une page judiciaire se ferme pour le ministre de l’Intérieur. Dans son arrêt du 14 février 2024, la Cour de cassation a validé le non-lieu prononcé en faveur de Darmanin dans l’affaire pour viol ouverte en 2020 et dont il était l’accusé. Pour rappel, Sophie Spatz-Patterson, la femme qui l’accuse de viol en 2009, avait déposé son pourvoi en cassation en janvier 2023, à la suite du non-lieu de Gérald Darmanin en première instance et en appel en juillet 2022. Le locataire de la place Beauvau, qui avait toujours expliqué avoir eu des recours consentis avec son accusatrice, est définitivement blanchi dans ce dossier.
Des versions très contradictoires
La première plainte avait été déposée en 2017. Selon Sophie Patterson-Spartz, les faits dont elle l’accuse se seraient déroulés en 2005. À l’époque Darmanin est chargé de mission au service des affaires juridiques de l’UMP. Elle lui avait demandé son soutien pour la révision d’une condamnation de 2005 pour chantage et appels malveillants à l’égard d’un ex-compagnon.
D’après la plaignante, l’actuel ministre de l’Intérieur l’aurait alors invitée quelques jours plus tard à dîner. Il aurait ensuite insisté pour qu’elle l’accompagne notamment dans un hôtel, lui faisant miroiter son possible appui, via une lettre qu’il s’engageait à rédiger auprès de la Chancellerie. Toutefois, ce n’est que lorsque Darmanin intégrera le gouvernement d’Édouard Philippe qu’elle portera plainte pour viol.
Le ministre de l’Intérieur a toujours assumé avoir eu des relations consenties
Ce n’est qu’en 2017, quand Gérald Darmanin est nommé ministre au sein du gouvernement Philippe, que la plaignante décide de se rendre à la police pour raconter ce qu’elle a vécu «après avoir suffoqué toutes ses années». De son côté, le ministre de l’Intérieur, alors entendu par les enquêteurs dans ce dossier, a bien reconnu avoir eu une relation sexuelle avec Sophie Patterson-Spartz affirmant avoir «cédé aux charmes» d’une plaignante «entreprenante». Après des années d’enquête et de procédures, il semble bien que la justice lui ait donné raison.
bizarre que tous ces tocards de ministres et autres passent aux travers on a une justice a deux vitesse les hauts eux passent le peuple la zonzon et les racailles eux dehors notre JUSTICE de la MERDE
Ah bon ? Arrêtez votre baratin : Sarkozy, Chirac, Guéant, Pasqua, Cahuzac, Juppé, Fillon, par exemple, ont été condamnés
ça veut, ça veut pas ???
12 ans après ?????
plainte ou buzz financier ????
bizarre toutes ces affaires !
Demander à une femme vraiment violée quand elle dépose plainte le jour même…