Cette dernière a, en effet, décidé de mettre en place une grille d’évaluation avec différents critères dans le but de noter les locataires et ainsi décider à qui attribuer un logement social. Le but avoué, et assumé, est d’expulser les familles de délinquants.
Une grille de notation pour évaluer les locataires
Philippe Marini, maire de Compiègne et président de l’Agglomération de la région de Compiègne est à l’origine de ce nouveau système pour les logements sociaux. Selon nos confrères de BFMTV, l’édile de cette commune de l’Oise a pris la décision d’ajouter un système de bonus-malus aux habituels critères d’évaluation des dossiers de demandes de logements sociaux. Ainsi, il explique que grâce à cette évaluation, les locataires qui ont de bonnes appréciations pourront se voir attribuer un logement HLM. Mais, à l’inverse, les «mauvais locataires» verront leur dossier retoqué. Il ajoute que dans certains cas, ces derniers pourraient également être expulsés de leur logement social.
Sanctionner la délinquance et surtout le trafic de drogue
Afin d’expliciter ce nouveau dispositif, Philippe Marini a mis en avant la délinquance quotidienne, de plus en plus violente, à laquelle doivent faire face certains habitants. Il dira au micro de BFMTV: «vous savez, très souvent, les personnes que je rencontre sont des personnes qui se plaignent de tapage, d’insécurité». Cette nouvelle mesure va toucher l’ensemble des membres du foyer, donc y compris les enfants des locataires stricto sensu, et ils seront tous sanctionnés en cas de troubles causés au voisinage, de trafic de drogue ou de condamnation pour violence.
Le maire de Compiègne a donné le détail de sa grille de notation. Ce dispositif va regrouper quatre malus: membre du foyer déjà condamné pour des faits de violences (- 10 points), troubles du voisinage (- 10 points), locataire déjà expulsé pour des troubles locatifs (- 20 points) et membre du foyer déjà condamné pour du trafic de stupéfiants (- 25 points). À l’inverse, deux bonus de 5 points sont également prévus: l’un pour les « travailleurs essentiels», l’autre pour «implication dans la vie locale».
Très bien Monsieur le Maire (ça n’arrive pas beaucoup de ma part), mais attention aux associations subventionnées par l’État (donc avec nos impôts), qui se chargeront d’attaquer votre décision nécessaire pour le bien être de la population.
Aucune contestation, aucune plainte, vous êtes sûrs ? Tiens, les cocos ont du partir en vacances.
Bravo Mr MARINI, les honnêtes gens pourront vivre en paix, sans peur dans leur quartier.
Bon, il y aura bien une association de bons à rien pour s’opposer à ça. Si c’est le cas qu’on leur fasse héberger des racailles, ils comprendront peut-être.
Bien joué !!
Très bonne idée dont tous les maires devraient s ‘inspirer !!