Pas un mot pour assumer qu’il est à l’origine du chaos institutionnel qui règne en France. Pas un signe qui montrerait que le chef de l’État préférerait se diriger vers telle alliance plutôt qu’une autre. C’est donc aux responsables politiques de trouver des arrangements pour présenter le nom d’un Premier ministre et un programme qui en découle. Actuellement à Washington pour assister à un sommet de l’Otan, Macron essaie de faire croire qu’il tient encore les rênes d’un pays plongé dans une situation délétère qu’il a lui-même initiée.
Pour Macron, «personne ne l’a emporté»
Dans sa lettre adressée aux Français, et diffusée par la presse quotidienne régionale (PQR), le président de la République en appelle au «compromis» entre les «forces républicaines» pour gouverner le pays. Niant le vote des électeurs en terme de voix mais préférant ne retenir que le résultat des jeux des alliances, il écrira: «Si l’extrême droite est arrivée en tête au premier tour avec près de 11 millions de voix, vous avez clairement refusé qu’elle accède au gouvernement». Il considère donc que «personne ne l’a emporté». Et d’ajouter: «Aucune force politique n’obtient seule une majorité suffisante et les blocs ou coalitions qui ressortent de ces élections sont tous minoritaires». Il affirmera que «seules les forces républicaines représentent une majorité absolue». Selon lui, cela les obligerait «à bâtir un large rassemblement».
Pas un mot sur sa responsabilité dans cette dissolution et ses conséquences
Pourtant, ces élections ont bien marqué toutes les failles de la Vème République avec des alliances d’un soir entre des partis qui se déchirent pour finalement être incapables de s’accorder sur un leader commun et un programme. Cependant, pour Macron, les électeurs ont «appelé à l’invention d’une nouvelle culture politique française», souhaitent l’avènement d’«une majorité solide, nécessairement plurielle, pour le pays». Il faut relever que le chef de l’État a implicitement dit le contraire quelques lignes plus haut reconnaissant que 11 millions d’électeurs avaient voté pour le Rassemblement national. Il ajoutera que «ce que les Français ont choisi par les urnes – le front républicain -, les forces politiques doivent le concrétiser par leurs actes». Par conséquent, Macron préfère «laisser un peu de temps aux forces politiques pour bâtir ces compromis». Sans pour autant dire clairement qu’il est prêt ou non à gouverner avec La France insoumise.
Le parti qui s’approchera de cet individu, se fera enfumer, et ce lâche se déchargera de tout ce qui arrivera sur l’idiot de service (le parti qui lui servira de marchepied).
Vous vous attendez à quoi avec ce type, partis de tout bord ne cédez pas à sa recommandation c’est à lui de former le gouvernement, il a voulu la place alors il se demmerde, ne tombez pas dans ce piège tendu. C’est un citoyen lambda qui vous le dit je suis respectueux de la république et je suis avant tout FRANCAIS pour mes ancêtres, lui c’est un mondialiste pourri en plus, jetons le des commémorations ils crache à la figure de ceux qui sont morts pour la France. je ne suis ni de gauche ni de droite bien au cobtraire (Coluche) il nous manque