Vendredi soir, Moody’s a abaissé la perspective de la note de la dette publique de la France à « négative ».
Que signifie ce changement pour l’économie française ?
Ce changement indique que l’agence de notation exprime des réserves quant à la capacité du gouvernement français à entreprendre les réformes nécessaires pour contenir l’augmentation de la dette publique. En avril dernier (2024), Moody’s avait maintenu la note de la dette, une décision qui avait été bien accueillie par le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, qui s’était engagé à renforcer les efforts pour rétablir les finances publiques.
La dette s’envole encore…
Six mois plus tard, la situation semble s’être dégradée, avec une augmentation continue du déficit public, portant la dette à environ 3 250 milliards d’euros. Par ailleurs, les débats au Parlement ont révélé des désaccords concernant la gestion des dépenses publiques, certains partis prônant une augmentation des taxes et d’autres cherchant à revenir sur certaines réformes, dont celle des retraites. Ce week-end, le volet recettes du budget n’a pas pu être voté dans les délais prévus.
Pour rappel …
En 2023, la dette publique de la France a atteint 3,2 milliards d’euros, c’est-à-dire 112 % de son PIB. Le déficit budgétaire s’est élevé à 4,9 %, dépassant le seuil recommandé de 3 % de l’Union européenne. La hausse des taux d’intérêt a également accru la pression, portant les coûts d’intérêt de la dette à environ 50 milliards d’euros, soit près de 2 % du PIB. Cette situation pèse depuis sur la planification budgétaire, limitant les investissements et impactant la confiance des marchés.
Quelles conséquences ?
Les conséquences de cette perspective négative incluent potentiellement une hausse des taux d’emprunt, ce qui alourdirait la charge de la dette pour l’État français et pourrait aussi affecter la confiance des marchés, ainsi que celle des ménages et des entreprises.
aucun responsable politique de droite comme de gauche ne se sont attaqués sérieusement a la dette depuis 1981 c- a d près Giscard
ils sont tous dans le déni et ont des lunettes roses
ce sont nos enfants et petits enfants qui vont faire les frais.
si le Pays était une entreprise privée elle aurait déposé le bilan depuis bien longtemps et les responsables en prison
Exactement et ils essaient de trouver des solutions pour faire payer la dette malheureusement c’est surtout le privé qui est sur la sellette car il n’y a pas de syndicats pour les défendre, et comme vous dites que se soit de droite ou de gauche, personne ne s’y aventurera car se sont tous des hypocrites et pas courageux….
Oui, et quand on sait que le Qatar détient une bonne partie de cette dette est est à même de faire quelques chose pour la rendre solvable, cela crée un malaise, voir même de sérieuses craintes pour notre souveraineté, surtout avec les irresponsables que nous avons à la tête du pays.
on est dirigé depuis 405 ans par la gauche qui est un cancer !!! une veritable bande de voleurs et de profiteurs tout en etant des incapables qui ont ruinés le pays pour toujours !!!il suffit de regarder la bordelisation de l’assemblée nationale et la tete de ceux qui touche 8000€/mois !!! des vrais tetes de cons et de dégénérés et croyez moi ils n’en ont pas que la tete !!!!
Au lieu de la mairie d’autrefois des conseillers municipaux et des modèles des Chevaliers du Fiel, la gauche a voulu la Métropole pour caser des copains, la communauté de commune dans le même but, le conseil départemental, cocagne ! et le Conseil Régional, merveille. N’oublions pas ces comités où on planque anciens élus qui risquaient devoir travailler, ces Conseils, même but planquer les copains, et les spécialités pour le clan LGBT, où ils ne risquent pas d’attraper des callosités dans leurs blanches mains. Tout ce monde là a décidé d’emmerder le monde et s’y active « pour son bien » … N’oublions pas que lorsque Culbuto a réduit le nombre des régions on a conservé le personnel de celles qui n’existaient plus que l’on doit encore payer pour rester chez eux.
Le problème français est la multiplication des strates décisionnelles qui a engendré un gonflement du nombre de fonctionnaires et par voie de conséquence une inflation de la masse salariale.
La productivité des fonctionnaires actif est importante dans les secteurs de l’hopital et de la police.
Mais les non actifs (les gestionnaires) sont trop nombreux et surtout dans les collectivité territoriales leur temps réel de travail est insuffisant.
IL est grand temps de responsabiliser la fonction publique à l’instar de la Suède qui a réussi à faire chuter la masse salariale des la fonction publique dont le statut n’est guère différent de celui du privé.
Pour mener la réforme nécessaire, les politiques doivent avoir du courage, ce qui est loin d’être leur vertu cardinale.