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À leur arrivée, ils ont découvert la septuagénaire inconsciente, en arrêt cardio-respiratoire, le visage tuméfié et couvert de sang, présentant de multiples traumatismes. Son corps était partiellement dévêtu, ne portant qu’un soutien-gorge et un pull. L’enquête va démontrer que la septuagénaire, décédée de ses blessures, aura été violée pendant son agression. L’auteur des faits avait déjà été condamné 24 fois par la justice.
De plus en plus souvent, des cambriolages qui tournent aux viols et aux meurtres des victimes
Le parquet de Rennes avait annoncé avoir ouvert une enquête pour «meurtre précédé ou suivi d’un crime, en l’occurrence le viol». Les enquêteurs ont relevé la présence de deux emballages de préservatifs, dont l’un vide, sur les lieux du crime. De plus, il avaient fait ainsi la découverte d’une boîte à bijoux de la victime dans un jardin mitoyen, suggérant également un vol. Selon nos confrères du Figaro, l’autopsie réalisée le lendemain a conclu que le décès était dû à un traumatisme craniofacial, encéphalique et cervical, ayant entraîné de nombreuses fractures et des hémorragies méningées. La femme, âgée de 73 ans, a été violemment battue et violée.
24 condamnations pour de multiples infractions, délits et crimes
Le principal suspect, un homme de 40 ans, connu pour être un marginal fréquentant une structure sociale proche des lieux, a été identifié grâce à la vidéosurveillance et interpellé le 31 mars. Son ADN a été retrouvé sur une bouteille d’eau découverte dans le jardin voisin, par lequel l’auteur présumé a pris la fuite, ainsi que sous les ongles de la victime. Malgré ces preuves, il nie les faits qui lui sont reprochés. Le quotidien 20 minutes rappelle que son casier judiciaire comporte 24 condamnations notamment pour vols aggravés, violences aggravées, menaces, agression sexuelle, infractions routières et infractions à la législation sur les stupéfiants. Incarcéré en mai 2023, il avait été libéré sans aménagement de peine en décembre 2024. Il a été mis en examen et placé en détention provisoire.
