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Une mère condamnée à un an de prison avec sursis pour maltraitance animale à Étaples. En effet, le tribunal correctionnel de Boulogne-sur-Mer a rendu son verdict ce mercredi 23 avril. Une jeune femme de 22 ans, résidant à Étaples (Pas-de-Calais), a été condamnée à un an de prison avec sursis pour maltraitance animale. Elle avait filmé ses actes de violence envers ses chiens, et incité sa petite fille de 3 ans à les reproduire. L’affaire, qui avait pris une ampleur médiatique, a révélé des actes de cruauté inacceptables envers des animaux domestiques.
Une plainte de la SPA
Tout a commencé lorsque la Société Protectrice des Animaux (SPA) de Canche-Authie a signalé des vidéos de maltraitance animale circulant sur les réseaux sociaux. Ces vidéos, publiées par la jeune mère elle-même, montraient des scènes choquantes de violences physiques sur ses chiens, ainsi que sur d’autres animaux. L’organisme a porté plainte auprès de la gendarmerie, et une enquête a rapidement été ouverte. Des associations de protection des animaux se sont également constituées parties civiles lors du procès, soutenant ainsi la cause des animaux maltraités.
L’enquête a permis de révéler des faits particulièrement graves. Sur ses réseaux sociaux, la jeune femme a été vue en train de donner des coups de pied et de poing à ses animaux, de les priver de nourriture et d’eau, et même de les étrangler à l’aide d’une laisse. Dans certaines vidéos, elle menace clairement ses animaux en déclarant: «Je vais l’étrangler s’il me mord, je le ferai souffrir».
Elle avoue également sa conscience des actes de maltraitance, tout en ajoutant «je m’en fous». En plus de ces violences, les conditions de vie des animaux étaient déplorables. Les chiens, deux chats et deux lapins étaient victimes de malnutrition, de blessures non soignées, et de divers troubles médicaux : gale, dermite, lésions cutanées, et même de graves infections buccales.
La justice considère ces faits d’une «extrême gravité»
LLa jeune femme a reconnu avoir agi sous l’emprise de la colère et d’une dépression. Pourtant, elle a assuré devant le tribunal qu’elle « aimait » ses animaux. Toutefois, ses actes ont été jugés inacceptables et une peine de prison avec sursis a été prononcée. En plus de la peine de prison, elle a été condamnée à une interdiction définitive de détenir un animal, avec exécution provisoire.
Le tribunal a également tenu compte des conditions de vie épouvantables dans lesquelles étaient maintenus les animaux. Ceux-ci ont été immédiatement pris en charge par la SPA après l’intervention des autorités. Leur état de santé a été jugé préoccupant et des soins ont été apportés.
Quoi.?, 1 an de prison avec sursis, c’est se foutre du monde, et la société protectrice des animaux a accepté cela..!, il fallait qu’elle fasse appel, c’est une pouffiasse sans nom, il faudrait lui faire exactement la même chose à cette pourriture et je suis déçu que les sociétés protectrices n’ont pas été plus loin dans ce verdict en plus une sanction financière très élevée aurait été plus que naturelle……
Extrême gravité et elle prend un an avec sursis !!! Bravo les juges….déjà il faudrait lui ligaturer ses trompes, qu’elle n’aille pas se reproduire ! Sa fille est sans doute de mère trop connue et de père inconnu… Suppression des prestations sociales, virée des logements sociaux.. encore une cassos
Nos cassos ont du talent ! 🙁
pauvres bêtes… jugement équitable… en espérant qu’elle ne s’en prenne pas à sa fille ! 🙁