Chips, sauces… Les fabricants autorisés à remplacer l’huile de tournesol sans modifier l’emballage.
Mardi, l’État a autorisé les fabricants de margarine, frites, sauces, biscuits ou plats en sauce à remplacer l’huile de tournesol dans leurs recettes jusqu’à six mois sans changer l’emballage.
L’État a autorisé mardi les fabricants de margarine, chips, biscuits ou sauce à remplacer l’huile de tournesol dans leurs recettes pendant six mois sans refaire leur emballage à cause des difficultés d’approvisionnement dues à la guerre en Ukraine. Après concertation avec les industriels et les associations de consommateurs, les industriels faisant cette demande de changement pourraient utiliser, par exemple, de l’huile de colza, selon Bercy.
Ils auront jusqu’à six mois pour changer leur packaging, mais devront indiquer sur l’emballage deux mois à l’avance qu’ils ont changé la recette sans préciser laquelle. En cas d’ajout de produits allergisants, ou si l’emballage contient des affirmations qui ne sont plus vraies, comme « 100% bio » ou « sans huile de palme », en revanche, la recette doit être changée immédiatement.
Mille références
Tous les changements de revenus perdus seront référencés sur le site Internet du Service Unique de Lutte contre les Fraudes de la Direction de l’Economie (DGCCRF). Selon Bercy, ces demandes de dérogation peuvent concerner des centaines voire des milliers de références, notamment des produits frits comme des frites ou des frites, ou de la chapelure, ou encore de la margarine, des sauces, des pâtes, de l’huile en conserve…
Il y a quelques semaines, des industriels ont saisi les services de Bercy pour alerter sur les risques de difficulté d’approvisionnement en huile de tournesol et les risques à les autoriser à modifier les recettes.
L’ONG Food Watch a alors insisté sur le besoin d’une « transparence totale« , répondant mardi qu’elle saluait « les efforts de transparence des autorités« . Elle a néanmoins mis en garde contre le « casse-tête pour les consommateurs d’accéder à l’information« , au mieux par des autocollants à déposer sur les packagings – « mais pas toujours » – ou par des codes QR dans les magasins qui référencent le site de la Répression des Fraudes sur Internet (DGCCRF).
L’huile de Colza n’est pas compatible avec ces préparations. Chauffée, elle devient toxique !!
C’est scandaleux.
Comme d’habitude les personnes faisant des allergies majeures ne pourrons pas vérifier les composants. Ces messieurs-dames au pouvoir vont encore jouer avec la vie des personnes vivant sur le sol français (vacanciers entre autre qui justement reviennent visiter notre pays) et risquer une montée de la pression hospitalière.
Merci l’état qui accorde des changements de recettes sans changement d’etiquettes ou de precisions sur le produits allergisants.
Reste les legislatives …………
Oui que le » fric » qui compte pour les gros industriels de la finance, de la corruption, de la grande magouille, une honte, la guerre d’Ukraine » a bon dos » cette est voulue , les Américains vont arroser l’ Europe de tout ce qu’ils peuvent avoir , et à qui la guerre rapporte , devinez ? ce sont eux qui commandent , et Macron n’est qu’un exécutant , l’Otan a redoré son blason , et nous petits Français subiront les pires ennuis ( nutrition , santé , sécurité ) ça fait beaucoup ? SANS COMPTER UNE POSSIBLE GUERRE NUCLEAIRE AU DESSUS DE NOS TETES.
Après l’huile de tournesol , qu’est ce qu’ils vont nous annoncer ?
De plus pour les personnes faisant des allergies ça peut être DANGEREUX !!
Il n-y a vraiment que le fric qui compte
Pourra t’on porter plainte en cas de complication suite a l’utilisation de ces huiles ? ? ?
Ça me parait irresponsable de ne pas mentionner le changement entre huile de tournesol et huile de colza (ou autre). Le consommateur a le droit de savoir. Imprimer des nouvelles étiquettes est moins compliqué que de modifier la composition du produit dans la chaîne de fabrication. L’huile de colza ne peut pas être chauffée aussi fort que l’huile de tournesol, ça vaut donc pour toutes les margarines et frites.