Dans une enquête publiée mercredi 30 novembre par Mediapart, on apprend qu’il se permet des prises de décisions ainsi que de mettre énormément de pression sur des fonctionnaires du ministère qui semblent perdus entre les ordres de leur ministre et ceux de son conjoint.
Une ministre qui ferme les yeux
Ces faits ne seraient pas nouveaux. Quand Pannier-Runacher était au ministère de l’industrie, il était déjà coutumier du fait. Une ancienne membre du cabinet à l’Industrie explique auprès du journal «Je recevais des messages à toute heure du jour et de la nuit». Elle dira aussi avoir eu l’impression «d’être prise en étau » entre Agnès Pannier-Runacher et son compagnon». Une situation compliquée à gérer pour les collaborateurs de la ministre.
En mai 2020, lorsqu’il a officialisé sa relation avec Agnès Pannier-Runacher, Nicolas Bays avait dû quitter ses fonctions de chef de cabinet de celle qui était alors à l’Industrie. Il continuera alors qu’il ne possède ni titre ni fonction. L’ancien député socialiste a, selon Mediapart, plusieurs fois interféré dans les affaires internes du ministère de sa compagne. Celle-ci se refusant à intervenir malgré les problèmes que cela engendrent et dont elle a connaissance.
Les accusations sont assez sérieuses pour que le couple saisisse leurs avocats
Les proches de Pannier-Runacher ont déclaré au journal qu’elle «a a toujours pris soin de respecter l’ensemble des lois, réglementations et principes déontologiques qui s’imposent à l’exercice des responsabilités publiques qui lui sont confiées ». Et se sentant obligé d’ajouter qu’«elle n’accepterait pas la publication ou la diffusion d’informations erronées, injurieuses ou diffamatoires mettant en cause son honneur et sa probité ou portant atteinte à sa vie privée, et y donnerait les suites, y compris judiciaires, appropriées». Quant à Nicolas Bays, il n’a pas voulu commenter cette information auprès de Mediapart. Son avocat, Me Olivier Bluche, a fait savoir qu’il «conteste catégoriquement toutes ces affirmations, allégations et imputations».
Si l’ingérence dans les dossiers d’un ministère où il n’a rien a y faire est un gros problème en soi, Mediapart a révélé que plusieurs anciens collaborateurs parlementaires ont dénoncé des comportements ou des gestes inappropriés, sous couvert de plaisanterie. L’un des témoins cités parle notamment d’une main aux fesses.
A observer tous ces crabes qui se goinfrent dans les paniers de l’état français par nos impôts que nous n’avons pas d’autre choix que de payer; je comprends mieux que l’on fasse appel a des Mc Kinsey pour les choses sérieuses. Tout ce petit monde dont un ne sais pas de quel ministère il dépend, semble fonctionner a l’affectif. Le Cul a toujours gouverné le monde, mais actuellement les « médiapart and co » savent nous le rappeler de manière à ce que les gilets jaunes restent d’actualité. A suivre …..
le grand cirque ou théâtre de guignol continue, pendant ce temps-là les « con-tribuables » paient la note au prix fort par les impôts, les normes imposées (sans s’occuper si elles sont possibles financièrement ou techniquement). Mais ils aideront leurs homologues dit fragiles qui vivent sur le dos de l’état, donc de nous. mais nous devons rien dire car dans ce cas , nous sommes « asociales » ou racistes. et l’on s’étonne que la France est dans la « mouise »
Une bonne tête de faux-jeton, ils forment vraiment un joli couple !