6 mai 2024

32 thoughts on “Un élève de 3e gifle et menace de mort son professeur de technologie : « Il avait l’arcade ouverte »

  1. Bof ! La routine quoi. Nous sommes vaccinés maintenant. Mais c’est justement cela le danger. Quand la routine s’installe, la nécrose sociale suit de prés. Rappelez-vous en en juin prochain et en 2027 au moment de mettre votre bulletin dans l’urne. Il n’y a que comme cela que les choses peuvent changer.

  2. Et bien moi, je suis content d’avoir quitté ce pays, et de vivre a 10000km dans un pays ou le respect d’autrui existe, ou je laisse mon casque sur le scooter et le téléphone sur la table sans risque de me les faire voler. Sans provoquer non plus et ou une fille peut rentrer chez elle a 1h du mat en short ou jupe courte sans risque d’être agressée.

  3. J’ai bien l’impression que des tas de gens ont pris au sérieux les élucubrations de ces braves dames plus ou moins Freudiennes, Lacanniennes, ou pire encore, qui ont publié des ouvrages sur l’éducation… Déjà Françoise Dolto, avec son fils Carlos, ne me semblait pas avoir obtenu la grrrrande classe. Sans aller jusqu’à ce brave Edmond de Goncourt qui écrivait « les enfants c’est comme la crème, les plus fouettés sont les meilleurs » il y aurait peut-être, entre les deux, l’enfant roi et l’enfant martyr, une voie médiane plus intelligente.

  4. L’école est obligatoire jusqu’à l’âge de 16 ans . Mais si un élève perturbe les cours trop souvent , on le renvoie de la classe , menaces et violences c’est DEHORS ! A-t-il réellement 14 ans? En 3eme les élèves sont souvent dans leur 16 eme année. Si c’est un perturbateur cancre , il a au moins 16 ans . Si c’est un génie, il ne devrait pas être en 3eme . Connaissant par cœur le système scolaire , il y a quelque vérités qui clochent . Cet élève aurait dû passer en conseil de discipline depuis longtemps.

    1. Non. L’école primaire commence à 6 ans voire moins si on est de fin d’année, on arrive à 14 ans et 4 mois en 3ème au mois d’avril. A 17 ans et demi, on peut passer son Bac.

  5. Bientôt, d’après ce que j’ai lu dans cet article, cela va être la faute du professeur.
    Continuons comme cela, nous sommes sur la bonne voie de la violence banalisée en milieu scolaire, du laxisme et de la lâcheté.
    Continuons à brasser du vent et à laisser tomber les règles fondamentales du respect de l’autre.

    1. Bientôt nous n’aurons plus d’enseignants pour instruire nos enfants. Ce sont nos responsables qui ont retiré toute autorité, que ce soit aux parents ou aux enseignants. Il faut revenir à plus de fermeté sinon nos entreprises le subiront, plus tard.

  6. L’instruction civique appartient à un autre temps !!!
    Le role de l’école est d’instruire et celui des parents d’éduquer.
    Il appartient au responsable de l’établissement d’appliquer son autorité et de convoquer les parents pour une décision de renvoi en cas de récidive.

  7. Là il y a un motif de grève. Où est la solidarité dans cette profession? que font les représentants syndicaux, planqués chez eux parce que bénéficiaires de crédits d’heures? Ah oui, ils défilent en tête des marches blanches avec les panneaux de leurs syndicats et les élus ceints de leur écharpe pour enfumer le peuple, j’aimerai voir leur réaction si l’un d’entre eux (syndicaliste ou élu) recevait une bonne correction ou était assassiné comme Samuel Paty ou celui d’Arras, où sont vos couilles bande de lâches ?

  8. De mon temps c’est la maîtresse qui distribuait généreusement des claques aux petits cancres …. mais ça c’était dans une autre France qui n’existe plus !!

  9. À qui la faute toute cette violence ? À des parents qui considèrent les enfants comme des Dieux et même plus rois on est passé à un niveau au dessus hélas ! Créant ainsi des petits monstres intolérants à la frustration, et tueurs accessoirement car refusant toute autorité.. Un enfant qui grandit sans limites devient un psychopathe et on a tout fait pour qu’il y en ai pleins les rues dans cette société qui a perdu le sens des valeurs et du respect !
    La justice doit sévèrement condamner ces actes mineurs ou pas elle doit remettre des limites et du sens quant aux parents ils sont pire que leurs enfants car ils leur donnent toujours raison et cautionnent leurs délits…

    1. « a voulu me frappe »…on le voit ton niveau maintenant, pov’q. Et bien sûr maintenant tu votes socialope genre grosmou ou mélancon parce-que tu ne trouves pas assez bien payé fonction de ton QI !!!

  10. Ouais, je ne préfère pas penser à ce qui me serait arrivé si j’avais ne serait-ce qu’oser parler mal à un prof… C’est pas que les générations se suivent et ne se ressemblent pas, en ce moment d’ailleurs, suite à un bête accident je suis le parcours des traumatisés crâniens et une séance avec ma neuropsychologue m’a rappelé des souvenirs enfouis…
    Les temps changent… et pas pour le mieux…

  11. Frapper un professeur va lui couter cher. Lui faire des menaces de mort encore plus ! Pourquoi garder ces jeunes, violents, qui ne font que perturber les classes en jouant au petit caïd ?
    Des classes surchargés, des professeurs non violents qui se trouvent démunis face à ces jeunes garnements : Que fait l’Education Nationale dont les responsables sont planqués dans leur bureau ???

        1. « On » en parle pas « ont » en parle. Vous êtes fâché avec votre prof de français?
          Et je crois que c ‘est beaucoup plus rare.
          C’est inadmissible dans les deux cas de figure.

        2. Vous devez habitez sur une autre planète, un prof qui « ose » levé la main sur un élève fini direct au tribunal, ce qui n’est pas forcement le cas d’un élève qui frappe un prof.
          Et une tape sur les mains n’a jamais tué personne.
          Si on en est arrivé la c’est justement parceque nous avons suivi la politique des USA, ou on ne touche surtout pas les enfants. J’ai pris quelques baffes dans ma jeunesse et je n’en suis pas traumatisée pour autant, bien au contraire, ca m’a rappelé le droit chemin. l’enfant roi nous a mené a toutes ces horreurs avec l’aide des réseaux sociaux qui n’ont d’ailleurs rien de social.

    1. …c’est sûr !!! après chaque nouveau « fait divers », on attend et on souhaite voir prendre des mesures de fermeté de l’Etat et de sa justice, mais des promesses, toujours des promesses…
      On finira par perdre patience, dommage d’en arriver là…

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