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Un test qui n’a rien d’exceptionnel
Présenté par les médias télévisés, cette opération a l’air extraordinaire. Toutefois, Enedis explique «qu’il s’agit d’un type d’exercice qu’il mène fréquemment tout au long de l’année» sans en dévoiler les modalités précises. La direction générale ajoute qu’«on teste notamment la manière dont on s’organise en cas de tempête pour rétablir le courant (le fournisseur d’électricité qui réalisera le test au sein de sa cellule de crise). Cette fois, c’est un exercice propre aux difficultés d’approvisionnement du courant».
Il est à supposer que cet exercice vient d’une demande de l’exécutif soucieux de savoir à quoi s’attendre en cas de panne du réseau. Les résultats vont lui permettre d’évaluer les situations à risque (panne dans les hôpitaux, les transports souterrains, autoroutes plongées dans le noir, etc.) et, ainsi, de parfaire sa communication.
Il s’agira d’une simulation
Contrairement à ce que les annonces pourraient laisser croire, il n’y aura pas de délestage en journée. Dans les faits, le gestionnaire du réseau de transport d’électricité fait savoir qu’il s’agira d’un test technique auquel prendront part Enedis, RTE et les préfectures départementales dans leurs locaux respectifs. RTE indique d’ailleurs que «C’est les dispatchers, nos agents aiguillent l’électricité dans le réseau, qui vont simuler un délestage avec leurs ordinateurs».
De manière plus claire, cet exercice reposera sur des simulations de cartes dont le rendu variera selon les manques en matière de production d’électricité ou encore les conditions météorologiques. Le gestionnaire du réseau de transport d’électricité fait savoir que «ça ne correspondra pas réellement à ce qui va se passer en cas de délestage et il n’y aura pas de délestage effectif cette journée ».
est-ce que les responsables de cette situation, c’est à dire ceux qui ont fait fermer les centrales nucléaires, les centrales dites polluantes, qui ont achetés des mines d’uranium en Afrique avec l’argent du contribuable, seront dénoncés et payeront la note sans que ce soit toujours les mêmes qui subissent sans avoir le droit de dire ces vérités.
C’est simple : les licencier SANS INDEMNITÉS NI PARACHUTES DORÉS !!
ça me fait penser à Cancrelat,(cf « les aventures du sapeur Camember »)promu capitaine des pompiers de Lantenot qui avait eu l’idée géniale d’essayer les pompes la veille de chaque incendie