Après la parution du rapport de la Cour des comptes sur les Finances publiques qui pointait du doigt les dépenses sociales, le ministre a dénoncé «un modèle insoutenable». Si 10 milliards d’économie sont voulues pour 2024, il faudra en faire 20 de plus en 2025. Le locataire de Bercy appelle à en finir avec «l’État-providence» afin de le remplacer par «l’État-protecteur».
Des discours contradictoires
Dans le JDD daté du 17 mars, Bruno Le Maire expliquera que «ce système est devenu incontrôlable». «L’État-providence a fini par devenir une machine à empiler de nouvelles dépenses publiques, sans examen de leur pertinence ni de leur efficacité, sans remise en cause non plus des dépenses précédentes», a-t-il ajouté. Pourtant, il a soutenu la politique économique et sociale d’Emmanuel Macron durant la pandémie et, plus récemment, le détricotage de la loi immigration sur le volet concernant les aides sociales. Toutefois, devant un rapport accablant de la Cour des comptes, le ministre de l’Économie n’a plus d’autre choix que de durcir son discours. En effet, les magistrats financiers estiment qu’il faudra réaliser 50 milliards d’économie de plus entre 2025 et 2027 et ceci afin de respecter l’objectif de réduction du déficit public à 3% attendu pour la fin du quinquennat.
Aucun objectif donné pour parvenir à ces résultats
L’interview de Le Maire restera au stade du discours. Il n’y aura aucune résolution présentée. Pourtant, le ministre insistera en assénant que «nous devons reprendre la maîtrise de ce système devenu incontrôlable». Et d’ajouter: «Quel est en fait son but ultime? La gratuité de tout, pour tous, tout le temps: c’est intenable». Le locataire de Bercy conclura en disant qu’«il y a toujours quelqu’un qui paie la gratuité. Une seule solution a été évoquée: il s’agit de durcir encore plus les conditions de l’assurance-chômage. «Nous avons encore une durée d’indemnisation parmi les plus généreuses en Europe. Cette générosité se paie au prix fort: un taux de chômage encore au-dessus de celui de nos principaux partenaires économiques» estimera Bruno Le Maire.
L’état ne peut plus donner à tous les pleurnichards « socialistes-pour-avoir-plus-de-fric » genre gilets jaunes, cgt, grévistes…ce pays est en faillite totale mais il y a encore des crabes syndicacats qui vont foutre leur bordel aux JO pour obtenir 1800€de primes à des fonctionnaires à la petite semaine…rien que ça!! ça, plus les étrangers, français sur le papier mais qui n’aiment pas la France, on va encore être la risée du reste du monde comme du temps du hollandouille!
Depuis qu’il est ministre de l’économie la dette public à augmenté de 700 millions d’euros …….