La crainte d’une baisse de la note de la France par les agences de notation et ses conséquences ont accéléré l’agenda de Bercy. Pour rappel, le projet de loi de finances 2023 prévoit des recettes à hauteur de 516 milliards d’euros mais avec des dépenses de 682 milliards d’euros. Ce qui représente un solde négatif de 166 milliards. Il faut ajouter à cela que la dette française est de près de 3000 milliards d’euros en 2023 (1).
«Protéger notre nation contre la dette»
Lors des Assises des Finances publiques à Bercy, Bruno Le Maire a déclaré que «maintenant que nous revenons à la normale, qui comprendrait que nous continuions à dépenser autant alors que ces deux grandes crises (…) sont derrière nous?». Il a ajouté que «notre devoir collectif désormais est de protéger notre nation contre la dette». Accompagné de la Première ministre et de Gabriel Attal, ministre des Comptes publics, ces assises font suite aux revues annuelles des dépenses de l’État, des collectivités et des administrations sociales, lancées en début d’année.
On remarquera l’absence des principales associations d’élus locaux qui sont en désaccord avec l’analyse de la situation. Pour réaliser ces économies, le gouvernement a visé certains poste comme la santé. Il veut lutter contre «l’explosion des arrêts maladie et «les dérives» des dépenses en médicaments. Le logement aussi sera concerné par ces économies. Ainsi, les aides au logement sont visées avec la suppression du dispositif Pinel ainsi que la refonte du Prêt à taux zéro, pour atteindre une économie de deux milliards d’euros à terme.
Le fin des dispositifs d’aide
Les avantages fiscaux sur les carburants dont bénéficient certaines professions comme les transporteurs routiers ou les agriculteurs (gazole non routier) seront supprimés progressivement. De plus, Bercy table aussi sur la fin du bouclier énergétique, les gains des réformes comme celles des retraites ou de l’assurance-chômage, le plein-emploi ou encore une croissance de l’économie qu’il anticipe plus dynamique, après un coup de frein en 2023. Il est regrettable de noter que la dépense sociale n’a pas été évoquée alors qu’elle représente plus de 50% des dépenses de l’État.
(1) Source: Le budget de l’État
Mais quand donc les « gens » vont comprendre que c’est eux qui sont légitimes et non les pantins placés au pouvoir par les financiers ?
Refusez d’obéir aux décisions et ordres imbéciles ( ceux qui ne correspondent pas au bon sens ) et comme ça tout ira mieux !
Je n’ai pas dit de rouler à gauche … mais voter à droite est une des options possibles puisque notre président est classé à gauche. OK ce classement droite/gauche n’a aucun bon sens : c’est un exemple de façon de voir la vie autrement qu’en « esclave des diktats » !
Un mineur isolé comme on dit coûte 50 mille €€ par an, soit trois fois la pension d’un retraité qui c’est tué au travail.. No comment..
Vous voulez faire des économies, simple : supprimer les avantages aux anciens députés, ministres et autres élus retraités, stop aux avantages pour les « malades » de longue durée et fainéants de tout genre, stop aux avantages pour les « migrants et demandeurs d’asiles », stop aux avantages pour certaines multinationales qui empochent des milliards de bénéfices et ne payent que très peu d’impôts, stop à toutes la connerie humaine qui veut la retraite à 56 ans et non à 62 ans, stop aux revenus mensuels pharaoniques de certains ministres et j’en passe.
Alors que la maison brule ces pompiers pyromanes essayent de l’éteindre en pissant sur les plates-bandes. Un crétin, même bardé de diplômes reste un crétin et Le Maire est un bel exemple.
pour diminuer la dette
nous pouvons entre autre attaquer a la fraude fiscale dans tous les domaines
cela rapporterait environ 100 milliards
En matière d’économie et de ressources financières, le ministre des finances publiques devrait demander à son secrétariat de ressortir le courrier du Président de Alliance pour la France qui lui a été expédié le 15 mai 2023.
« Quoi qu’il en coûte » expression du macron, cela peut lui donner des pistes à suivre.
Le fameux quoi qu’il en coute à tour de bras et à tout va que maintenant le peuple va devoir se serrer la ceinture et encore plus de destruction de nos services publics !!!
Il faudrait déjà qu’il supprime tous les avantages des anciens ( députés ,ministres etc.. )qui profitent de voitures avec chauffeur, c’est une honte .