
crédit image @adobe stock / police nationale
Un nouveau fait divers violent a secoué le quartier de la Gare du Nord à Paris, où un ressortissant algérien a été grièvement blessé à l’arme blanche fin avril. L’incident, qui aurait éclaté suite à une demande de cigarette refusée, a conduit à l’arrestation et à l’incarcération d’un suspect malgré ses protestations d’innocence.
Un acte de violence aux conséquences graves
Le 25 avril dernier, aux abords de la Gare du Nord, une agression au couteau a eu lieu, laissant un homme de nationalité algérienne gravement blessé. L’attaque, d’une violence particulière, a entraîné pour la victime une Incapacité Totale de Travail (ITT) de 45 jours, témoignant de la gravité des blessures infligées.
Selon les premiers éléments de l’enquête, cette explosion de violence serait survenue après que la victime ait refusé de donner une cigarette, un motif apparemment dérisoire pour un acte aux conséquences si lourdes.
Un suspect rapidement identifié et arrêté
Deux jours après les faits, le 27 avril, un homme prénommé Saïd, âgé de 34 ans, a été mis en examen pour tentative de meurtre et placé en détention provisoire. Les forces de l’ordre ont découvert un couteau ensanglanté à proximité du lieu où le suspect a été interpellé. L’arme a immédiatement été envoyée pour analyse ADN afin d’établir d’éventuels liens avec l’agression.
La situation administrative du suspect en question
Un élément notable du dossier concerne la situation administrative de Saïd sur le territoire français. Arrivé en France en 2020, il fait l’objet d’une Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF) depuis cette même date, une mesure qui n’a visiblement pas été exécutée.
Des versions contradictoires
Face aux accusations, Saïd maintient fermement son innocence et a demandé sa remise en liberté, requête qui a été rejetée par la justice. Lors de ses déclarations aux enquêteurs, il a affirmé : « Moi, j’ai séparé les bagarreurs. Je suis innocent. Je n’ai jamais fait de mal à personne. Je ne fais que chercher du travail. »
Le suspect a également mentionné la présence de deux autres ressortissants algériens lors de l’incident, identifiés sous les prénoms de Soufiane et Idir, suggérant ainsi une possible implication d’autres personnes dans cette affaire.
Les protestations du mis en cause
Confronté aux preuves et aux témoignages, Saïd persiste dans ses dénégations : « Je n’ai pas fait ça et je ne connaissais pas le blessé », a-t-il déclaré, rejetant toute responsabilité dans cette agression.
L’enquête se poursuit désormais pour déterminer avec précision les circonstances exactes de cette attaque et établir les responsabilités de chacun, notamment concernant les deux autres individus mentionnés par le suspect.
Encore un OQTF,qui ne devrait plus être sur le territoire français, si la France ne baissait pas son pantalon comme à chaque fois. Cette personne aurait pu se faire tuer de la faute aux juges trop laxiste.