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Une professeure a été victime d’un véritable calvaire après sa relation avec un ancien élève. Le procès révèle un engrenage d’agressions, de chantage et de violences perpétrées par un groupe d’adolescents.
Une relation qui tourne au cauchemar
En avril 2024, une enseignante autrichienne entame une relation avec un ancien élève âgé de 16 ans. Selon les autorités judiciaires, cette relation ne relevait d’aucun abus de position d’autorité, le parquet ayant formellement écarté cette hypothèse.
Ce qui semblait être une simple histoire personnelle va rapidement se transformer en véritable cauchemar pour la victime.
Des pressions dès le mois de mai
Lors d’une soirée organisée par l’ancien élève en mai 2024, la situation prend un tournant dramatique. Deux amis du jeune homme commencent à exercer des pressions sur l’enseignante, la menaçant de rendre publique sa liaison.
Face à ces événements, la professeure se déclare « terrorisée » par l’accusé principal, figure centrale dans cette affaire. Ces menaces la poussent à rompre avec son ancien élève et à se mettre en arrêt maladie.
Escalade des violences et chantage
La rupture ne met pas fin au calvaire de l’enseignante. Fin novembre 2024, elle subit une agression sexuelle sur sa propre terrasse. Plus grave encore, cette agression est filmée par les adolescents.
Ce matériel devient alors une arme de chantage particulièrement efficace contre la victime. Les jeunes agresseurs l’utilisent pour la contraindre à mettre son appartement à leur disposition et à financer leurs dépenses personnelles.
Multiples viols et traumatismes psychologiques
Selon les éléments présentés au tribunal, la professeure aurait été violée à plusieurs reprises par différents membres du groupe. Un rapport psychiatrique versé au dossier fait état de séquelles psychologiques graves, dont une dépression chronique et un stress post-traumatique.
Des accusations graves et des aveux partiels
Le procès qui s’est ouvert à Vienne concerne sept jeunes hommes qui étaient âgés de 14 à 17 ans au moment des faits. Les chefs d’accusation sont particulièrement lourds.
Trois des accusés ont déjà plaidé coupable de viol, d’abus sexuel sur une personne sans défense et de coercition sexuelle. L’accusé principal, quant à lui, évoque des relations qui auraient été consenties.
Cambriolage et incendie criminel
Deux des jeunes hommes sont également poursuivis pour cambriolage et incendie criminel de l’appartement de l’enseignante, aggravant encore le tableau des persécutions subies par la victime. L’adolescent de nationalité irakienne a reconnu sa participation au cambriolage.
La position de l’ancien élève
L’ancien élève, à l’origine de cette tragique affaire, est accusé d’avoir volé 800 euros à la victime. Il nie cependant toute implication dans les événements survenus après leur rupture.
Il a affirmé devant le tribunal n’avoir « parlé de leur relation qu’à deux de ses meilleurs amis », tout en reconnaissant que « l’information s’était répandue ».
Vers un dénouement judiciaire
Cette affaire, qui illustre un cas particulièrement grave de harcèlement et de violence sexuelle en milieu scolaire, devrait connaître son épilogue judiciaire prochainement. Le verdict est attendu pour le 20 octobre.
Les juges devront déterminer la responsabilité précise de chacun des accusés dans cette spirale de violence qui a brisé la vie d’une enseignante.

on continue ben voyons !! des encu… sud ou grand sud plutot de la belle bleue !! il faut virer toute cette racaille et si le pays ne veux pas les reprendre zero visa zero aide RIEN
Irakien, … L’immigration n’est pas le problème. Ces faits de plus en plus graveleux, avec l’usage systématique du couteau, les lynchages, l’implication des mineurs, les trafics…, ne sont que les signes de l’évolution de notre société. La fédéralisation le l’Europe se poursuit sous la haute vigilance des lobbying mondialistes et islamistes. Bientôt les peuples autochtones déjà bien amorphes seront murs pour être relégués au rang d’une communauté parmi d’autres et tout cela s’équilibrera dans un brouet multiculturel ou la démocratie sera définitivement remplacée par une oligarchie de commissaires européens.
Bof!
Ces pauvres petits…
J’espère qu’ils seront condamnésà des peines sévères
Toutefois l’enseignante n’aurait pas dû…
Encore des jeunes bien éduqués .
Mais ils ne serons que faiblement punis par la justice autrichienne.
Enfances difficiles, problèmes psychiatriques, blablabla,…
Rien de grave ils voulaient juste tester les limites, les petits démonstration.