Ces derniers squattaient des logements sociaux de la commune. Jeudi 7 mars, Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur, a fait savoir sur Twitter que «ceux qui ont menacé gravement le maire d’Hantay et sa famille, viennent d’être expulsés de leurs logements sociaux par le Préfet sur mon instruction».
Des hommes cagoulés et des menaces de mort
Jacques Montois, le maire d’Hantay, près de Lille, avait failli démissionner. Cet énième épisode de violences contre les élus avait relancé le débat sur leur sécurité. Alors qu’il était accompagnée de son adjointe, il prenait des photos en vue de faire élaguer certains arbres. C’est là qu’il a été «insulté, menacé de mort ainsi que sa famille. Les individus ont également proféré des menaces de viol sur son épouse et d’atteinte à ses biens», selon un tract distribué dans la commune afin d’expliquer les faits. L’édile avait aussi souligné, sur TF1, que ces personnes étaient «cagoulées et que l’une d’elles avait une barre de fer».
Ces personnes occupaient illégalement des logements sociaux
Le préfet du Nord a indiqué qu’«à la suite des menaces de mort adressées au maire de la commune d’Hantay par une personne squattant un logement social, le préfet du Nord a mis en demeure par arrêté préfectoral cet occupant de quitter les lieux sous sept jours. En l’absence de mise en œuvre de cette mise en demeure par la personne concernée, le préfet a accordé le concours de la force publique afin de mettre fin au squat de ce logement». Et de poursuivre: «(…) Eu égard, aux menaces graves effectuées à l’encontre du maire d’Hantay, le préfet a décidé d’enclencher la procédure administrative propre aux squats d’habitation».
Dans les faits, le maire parle d’une dizaine d’individus qui l’aurait menacé, lui et sa famille. Il souhaitait une réponse forte de l’État ou il menaçait de démissionner. Si Jacques Montois et son adjointe ont porté plainte, l’un des mis en cause affirme que le maire l’aurait giflé. Il a ainsi aussi déposé plainte.
Notre ministre de l’intérieur se félicite d’avoir solutionné 2% d’un grave problème infligé à des honnêtes gens. Il considère que le citoyen lambda est moins valeureux, qu’un maire ! Et çà veut se présenter aux prochaines présidentielles ? Je ne comprendrai jamais leurs électeurs !
Le plus étonnant dans cette affaire est que le ministre se félicite d’une action qui devrait être naturelle.
Ce sont des squatteurs ! la loi devrait permettre de les expulser sans aucun délai.
Mais aussi de les suivre judiciairement pour ne pas déplacer le problème ! car ou vont-ils aller ? chez qui vont-ils aller squatter à présent en toute impunité ?
Notre état de droit, qui sous l’influence dominante de la gauche et de la jurisprudence européenne, n’a cessé de défendre les délinquants et d’invisibiliser les victimes doit être entièrement revu sans que l’Europe ne s’y oppose !
Pour cela commençons par remplacer la majorité gauchiste du parlement européen en allant voter pour la droite nationale RN ou reconquête, en juin prochain !
Ce vote est primordial. Il est aussi important que d’élire notre président qui ne décide plus rien. Il nous faut reprendre en main notre destin car c’est l’UE qui aujourd’hui décide de tout y compris de ce que nous devons mettre dans nos assiettes !
C’est à nous de jouer . Ne manquons pas ce rendez vous. Après il sera trop tard.
Les squatteurs, comme les gens du voyage, sont des rats, des coucous qui violent la propriété d’autrui avant de la dégrader. Il faut les éradiquer et n’avoir aucune pitié pour ces voyous.
C’est squatteurs c’est la honte absolue de notre gouvernement.
En France ils est toléré que des délinquants vols des maisons où des appartements à d’honnête citoyen Français sans que l’état français ne vire immédiatement menus militaris ces délinquants souvent étrangers.
Les paysans dans ma jeunesse utilisaient des cartouches chargées de gros sel pour assaisonner le fessier de ce genre de personnes. Il me semble que ce n’était pas si bête…
Cest exact,sauf qu’aujourd’hui,il serait nécessaire de remplacer le sel par du plomb pour qu’ils comprennent.
Il squatte et veut porter plainte !!!!. Le propriétaire ou le bailleur social doivent eux d’abord porter plainte contre le ou les squatteur(s). La gifle (si toutefois elle a été donnée) n’est qu’un détail. L’expulsion immédiate n’est que la sanction normale.
Alors déjà, c’était des squatteurs. Donc, ce n’est qu’une expulsion normale qui pourrait ne pas être liée au délit. Ensuite, si tu veux vraiment nous épater, Darmanin, renouvelle cela très souvent; très très souvent.
Il faut rétablir les travaux forcés pour ces dechets de l’humanité! Mais un juge du mur des cons ou de la fête de l’huma va bien condamner le maire!
Aujourd’hui, il vaut mieux être délinquant que victime. Pauvre France!
Il y en a un qui ose porter plainte c’est le monde à l’envers !! Faut foutre dehors ces déchets en espérant ne pas les revoir dans notre pays , tant nos frontières sont des passoires !!