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Les autorités ont mis fin au calvaire d’une jeune fille maintenue en captivité depuis 2018. L’adolescente a réussi à s’échapper le 8 mai dernier, révélant des conditions de détention inhumaines imposées par sa propre mère et le compagnon de celle-ci. Cette affaire qui a eu lieu dans le New-Jersey soulève de graves questions sur les failles du système de protection de l’enfance.
Sept années de captivité dans l’ombre
En 2018, Brenda Spencer prenait la décision qui allait bouleverser la vie de sa fille. Elle l’a retirée du système scolaire sous prétexte d’éducation à domicile, mais la réalité était bien plus sombre. Avec son compagnon Branndon Mosley, elle a transformé ce qui aurait dû être un foyer en prison.
L’adolescente n’a plus eu de contact avec le monde extérieur pendant sept longues années. Le couple avait mis en place un système élaboré pour la maintenir prisonnière, alternant entre différentes formes de confinement particulièrement cruelles.
Des conditions de détention inhumaines
Une cage pour animaux comme lieu de vie
Parmi les révélations les plus choquantes figure le témoignage de la victime concernant ses conditions de détention. La procureure MacAuley a rapporté que l’adolescente « a indiqué avoir été forcée de vivre, pendant environ un an, dans une cage pour chien, dont on ne la laissait sortir qu’occasionnellement ».
Cette cage n’était qu’un des nombreux lieux où la jeune fille était confinée. Le reste du temps, elle était maintenue enchaînée dans une salle de bains verrouillée ou enfermée dans une pièce vide équipée d’un détecteur de mouvement pour prévenir toute tentative d’évasion.
Une mise en scène lors des visites familiales
Pour maintenir les apparences, le couple libérait temporairement l’adolescente lors des rares visites de membres de la famille. Ces brefs moments de pseudo-liberté n’étaient qu’une façade, car elle était systématiquement remise en captivité dès le départ des visiteurs.
Ce stratagème a permis à Spencer et Mosley de maintenir leur emprise pendant sept ans sans éveiller de soupçons auprès de leur entourage ni des services sociaux.
La fin du cauchemar et les poursuites judiciaires
Le 8 mai dernier, l’adolescente est parvenue à s’échapper grâce à l’aide d’un voisin attentif, mettant fin à des années d’horreur. Cette évasion a déclenché l’intervention des autorités et l’arrestation immédiate du couple.
Brenda Spencer et Branndon Mosley font désormais face à de multiples chefs d’accusation, dont enlèvement, séquestration, agression et association de malfaiteurs. Pour Mosley, les charges sont encore plus lourdes, incluant des accusations d’agression sexuelle et de mise en danger d’une mineure.
Les enquêteurs continuent de rassembler des preuves pour comprendre comment une telle situation a pu perdurer si longtemps sans intervention extérieure.
Encore un nom à consonance étrangère !!!! Mais un nom de blanc certainement sous O Q T F et allant à la messe régulièrement !!!!!! En t on le reconduction vers leurs pays d origine aussitôt après !!!!!triste France 🇫🇷
Un scénario de film d’honneur, malheureusement la réalité dépasse souvent la fiction.
Comme quoi nous n’avons pas le monopole des dingues dangereux en France.
Pkoi trop complexe, il s’est passé une pourriture analogue en Autriche.
MAGA… il y a du boulot TRUMPette de la mort
Trop complexue pour y croire vraiment !!!