Le parquet de Lyon a indiqué que cette femme a été interpellée le jour même puis mise en examen pour «meurtre» mardi 14 novembre. La mère du garçon a été ensuite placée en détention provisoire.
«Un contexte familial extrêmement compliqué»
Selon les informations recueillies par nos confrères du Progrès, cette femme, âgée de 49 ans, a nié avoir tué son fils de 17 ans. Elle a expliqué, lors de sa garde à vue, avoir été violentée par ses deux enfants, le garçon et sa sœur. D’après les journalistes lyonnais, la mère de famille présentait des traces de violences. Son avocat, Maître Wilfried Grépinet, a évoqué «un contexte familial extrêmement compliqué». Il a ajouté que l’état mental de sa cliente «pose question» et qu’il souhaitait que soit réalisée une expertise psychologique et psychiatrique.
En effet, dans une information relayée par Le Progrès, Me Grépinet a précisé que «la mère, suspectée d’être l’auteur des blessures ayant entraîné le décès de l’adolescent et la sœur de la victime, suspectée d’avoir commis des violences à l’encontre de sa mère, ont été présentées à un juge d’instruction», dès mardi «dans le cadre d’une information judiciaire ouverte par le parquet de Lyon». La fille de la mise en cause, interpellée dimanche et âgée de 22 ans, est, quant à elle, poursuivie pour «violences volontaires aggravées» sur sa mère et a été placée sous contrôle judiciaire.
L’enquête se poursuit afin de connaître les circonstances du drame
Toujours selon nos confrères, le jeune garçon de 17 ans a été poignardé «au niveau du cœur». S’il a été transporté à l’hôpital Édouard Herriot à Lyon avec un pronostic vital engagé, l’adolescent a subi une opération mais il décèdera des suites de ses blessures. Le parquet conclu que «les investigations se poursuivent désormais sous l’autorité d’un juge d’instruction afin de préciser les mobiles et les circonstances de ce passage à l’acte».
Encore une mère qui a divorcé du père car celui ci n’était pas parfait alors que elle, elle assure grave, tout est toujours bien fait avec elle et elle gère très bien sans le père. Après avoir fait le tour des hommes elle a toujours pas trouvé malgré sa grande expérience de la chose. La pauvre c’est une victime, tout le monde est mauvais sauf elle, surtout ses enfants dont elle vient d’en tuer un
Comme d’habitude, un rapport d’expertise qui conclue à une abolition (totale ou partielle) du discernement au moment où elle donne la mort à son fils. Je trouve que c’est un peu trop facile, d’autant que tout le monde sait qu’il manque aussi des places et du personnel dans les établissements psychiatriques. Dans quelques années on s’étonnera encore qu’elle ait à nouveau tué quelqu’un ou, pourquoi pas sa fille.
Qu’en savez vous ?