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Un drame bouleversant s’est produit dans le Haut-Rhin où une jeune fille de 17 ans a mis fin à ses jours quelques heures seulement après avoir signalé être victime de violences et de harcèlement. Les autorités ont immédiatement ouvert une enquête pour faire toute la lumière sur cette tragédie qui soulève d’importantes questions sur la protection des mineurs en détresse.
Une nuit tragique après une journée de signalement
Dans la nuit du 12 au 13 octobre 2025, une adolescente de 17 ans s’est donné la mort au domicile de ses parents à Mulhouse. Cette tragédie est survenue le jour même où la jeune fille s’était rendue auprès des autorités pour dénoncer des actes de harcèlement et de violence dont elle se disait victime.
Le procureur de la République, Nicolas Heitz, a confirmé la piste du suicide dans ses premières déclarations : « Des premiers éléments de l’enquête, il s’agirait d’un décès à la suite d’un suicide ».
Des actes de violence et de harcèlement dénoncés
Selon les informations communiquées par les autorités, l’adolescente avait formellement déposé plainte quelques heures avant son geste fatal. Elle y dénonçait « des faits de violences en réunion venant de se produire, d’appels téléphoniques malveillants et de harcèlement moral ».
Un élément important précisé par les enquêteurs est que les faits rapportés par la victime ne se seraient pas déroulés dans un contexte scolaire, contrairement à ce que l’on pourrait initialement supposer dans une affaire de harcèlement impliquant une mineure.
Une enquête approfondie en cours
Face à la gravité de la situation, le parquet de Mulhouse a rapidement diligenté une investigation pour déterminer avec précision les circonstances du décès de l’adolescente. Le service local de police judiciaire du commissariat de Mulhouse a été chargé de mener cette enquête délicate.
Pour recueillir un maximum d’éléments, les enquêteurs ont procédé à la saisie des enregistrements de vidéosurveillance disponibles, qui seront minutieusement analysés dans les prochains jours.
Cette tragédie soulève de nombreuses questions sur l’efficacité des dispositifs d’alerte et de protection des jeunes victimes de harcèlement, particulièrement lorsque celles-ci ont fait la démarche de signaler leur situation aux autorités compétentes.
Génération de hyènes, vu le niveau d,intelligence, je ne pense pas que ça va les empêcher de dormir. Si une enquête est ouverte, pour retrouver les harceuleurs ou harceuleuses, personne ne va assumer.( Ce n’est pas moi, ce sont les autres. )
c est d une grande tristesse ..il en faudra combien des comme elle ou des comme les autres pour que la justice se bouge après des dépôts de plainte ? ça me fend le coeur ..