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Dans un quartier de Nantes habituellement paisible, une affaire particulièrement grave secoue les services de police. Un fonctionnaire d’une quarantaine d’années fait l’objet de poursuites judiciaires pour des faits d’une extrême gravité impliquant un mineur. Les investigations se poursuivent tandis que le suspect a été placé en détention.
Des accusations gravissimes contre un agent de police
Un policier nantais quadragénaire a été appréhendé puis mis en examen pour des faits de viol et d’agression sexuelle. La victime présumée est un enfant de 8 ans, ami du fils du fonctionnaire. L’homme, qui élève seul son enfant, aurait commis ces actes dans un contexte privé.
Suite à sa garde à vue, les autorités judiciaires ont ordonné son placement en détention provisoire. Pour des raisons évidentes de sécurité, le suspect a été incarcéré dans un établissement éloigné de Nantes et placé à l’isolement complet.
Un passé professionnel troublant
Des fonctions sensibles auprès des mineurs
L’enquête a révélé un élément particulièrement troublant concernant le parcours professionnel du mis en cause. En effet, ce dernier avait précédemment exercé ses fonctions au sein de la brigade de protection de la famille, un service spécialisé dans la prise en charge des mineurs victimes.
Une demande de transfert refusée
Selon les informations rapportées par Ouest-France, le policier aurait récemment sollicité une mutation pour intégrer la brigade des mineurs. Cette demande n’aurait pas abouti en raison d’une sanction disciplinaire antérieure. Cette mesure administrative serait consécutive à la dénonciation de comportements inappropriés signalés par une collègue de travail.
Une procédure judiciaire en cours
L’affaire, particulièrement sensible, est désormais entre les mains de la justice. Les investigations se poursuivent pour établir avec précision les circonstances exactes des faits reprochés au policier nantais.
Les services d’aide aux victimes ont été mobilisés pour accompagner l’enfant et sa famille dans cette épreuve. Les autorités n’ont pas communiqué davantage de détails pour préserver l’enquête en cours et protéger l’identité du mineur concerné.