Le procès de Camille Anguenot, 20 ans, s’est ouvert devant la cour d’assises de Vesoul, mardi 10 septembre. Accusée d’avoir tué et dissimulé le corps de Théo Decouchant, un jeune homme de 23 ans, dans un placard, la jeune femme a reconnu les faits lors de la première journée d’audience. Décrite comme manipulatrice et sans empathie, elle encourt jusqu’à 30 ans de réclusion criminelle pour homicide volontaire, vol et escroquerie
Elle lui aurait donné plusieurs coups de poing avant de le poignarder
Camille Anguenot, 20 ans, est jugée pour le meurtre d’un jeune homme, Théo Decouchant, depuis mardi 10 septembre, aux assises de Vesoul, en Haute-Saône. Le corps de ce dernier avait été découvert dans un placard à balais de son domicile, emballé dans des sacs-poubelle. Au premier jour de l’audience, la jeune femme a avoué les faits sans détours, suscitant la « stupeur » des enquêteurs face à son comportement, selon Le Parisien.
L’accusée, âgée de 18 ans au moment des faits, en 2021,explique avoir rencontré Théo, un garçon discret, en discothèque. Après l’avoir invité chez elle, elle prétend avoir été réveillée dans la nuit par des caresses, qui auraient provoqué une réaction violente de sa part. Elle lui aurait donné plusieurs coups de poing avant de le poignarder avec un couteau de cuisine. En panique, elle utilise la ceinture d’une robe pour l’étrangler, affirmant que « tout est allé très vite ». Théo aurait succombé en quelques minutes, selon les rapports médicaux.
Manipulatrice et sans remords
Dans les jours qui suivent le meurtre, Camille continue sa vie comme si de rien n’était. Elle utilise la voiture et la carte bancaire de sa victime, n’hésitant pas à envoyer un SMS depuis son téléphone pour simuler une conversation anodine. Malgré l’inquiétude croissante de la famille de Théo, elle garde un comportement détaché, allant jusqu’à partager sur les réseaux sociaux l’avis de recherche du jeune homme. C’est une semaine après la disparition que les enquêteurs ont découvert le corps, dissimulé dans un placard de son appartement.
L’un d’eux raconte devant la cour le choc ressenti par les policiers en ouvrant la porte du placard, où la victime avait été enroulée dans des sacs-poubelle fermés avec du ruban adhésif. Camille, dans un premier temps, nie toute implication avant de finalement reconnaître le crime. Dépeinte comme manipulatrice et sans remords, Camille Anguenot aurait vu en Théo un « pigeon » qu’elle espérait exploiter financièrement. Son détachement et ses mensonges tout au long de l’enquête ont laissé les enquêteurs perplexes, tandis que la cour cherche désormais à établir les véritables circonstances de ce drame. Le verdict est attendu dans les prochains jours.
Tiens ….. surprise ! dans le commentaire on a les noms et prénoms de la femme et de l’homme …. étrange , vous ne trouvez pas ???
Eh ! Bah! C’est bien sûr ! Ils ne viennent pas d’Afrique .
Cette femme ne mérite pas de vivre, il faudrait la raccourcir !!!
L’empaler me paraitrait pas mal non plus…