Si l’enfant a été retrouvé dans la baignoire, les enquêteurs expliquent qu’un petit congélateur se trouvait juste à côté. Une source proche de l’enquête affirmera que cela laisse supposer «que l’enfant avait été entreposé un temps à l’intérieur». La scène a été si terrible que certains policiers se sont vus proposer l’aide d’un thérapeute pour surmonter le choc de cette vision d’horreur.
Ce sont les pompes funèbres, contactées par le père, qui ont alerté la police
En effet, devant l’étrange demande du père de famille, les pompes funèbres ont immédiatement contacté le commissariat. Ainsi, Salim B, âgé de 28 ans, leur avait demandé comment faire pour «rapatrier le corps de son fils en France décédé en Algérie». Toutefois, ce qui a alerté les pompes funèbres est une attestation d’un médecin de Perpignan, envoyé par le père du petit garçon, expliquant qu’il avait «déchiré le certificat de décès en raison de sa tristesse». Contacté par un salarié de l’entreprise en charge du dossier, le médecin a confirmé ses soupçons en affirmant n’avoir jamais établi un tel certificat. Mais le pire reste à venir. Ainsi, quand on demande à Salim B. où se trouve le corps, il répondra qu’«il est dans le congélateur aux fins de préservation, conformément à la demande du médecin».
Le père, l’oncle et la grand-mère des enfants sont mis en examen
Il faut noter que dans le même temps, les pompiers ont alerté la police que deux petites filles de 3 et 4 ans avaient été admises à l’hôpital pour des blessures graves. Il s’agira des deux sœurs du petit Imran, le jeune garçon retrouvé mort. La fillette de 4 ans est arrivée inconsciente aux urgences et «présentait un enfoncement de la boîte crânienne» selon une source policière. Elles avaient été déposées là par leur oncle, Cherif B., le frère aîné de Salim. De plus, il a été rejoint par la grand-mère des enfants, Lila S., âgée de 60 ans, directement à l’hôpital.
Si Salim était déjà connu des services de police pour des faits de violences intrafamiliales, il avait obtenu la garde des enfants «en raison de la déficience mentale de leur mère». Jean-David Cavaillé, procureur de la République de Perpignan, a indiqué qu’il a été écroué immédiatement. Une information judiciaire a été ouverte contre le père de famille pour «meurtre sur mineur de 15 ans», pour «tentative de meurtre» sur ses deux filles et pour «faux et usage de faux». La grand-mère et l’oncle ont eux aussi été mis en examen pour «non-dénonciation de crime» et ont été placés sous contrôle judiciaire.
« J’ai mal à ma france «
Si ASE est responsable,tout du moins dans cette chaîne de responsabilité,j’ai 65a,j’ai été élevé avec l’assistance publique suite à de mauvais traitements…je pense au silence des voisins et à l’école.je souffre qd je vois ce genre de fait.Les services de l’état fonctionnaient mieux .Ou vont mes impôts ?Et quelles sanctions ,honte à la justice si prompte à réclamer les pv…
Gene,
Les services de l’A.S.E. sont à fuir de toute urgence … Se baser sur la « déficience mentale » de la mère pour donner les gosses à garder au père, violent et déjà connu de la police, c’est n’importe quoi …
Déjà gamine, je cotoyais des « filles de l’Assistance »: sans aucune considération, les « accueillants » ne les prenaient que pour gagner 3 sous, et les faire travailler à la ferme. Et ça continue …
Encore un belge ou un suédois qui s’est trouvé une bonne française débile à niquer!!! (Mais comment elles font??????)
Ce monsieur était connu pour des faits de violences intra familiales mais il a eu la garde de ses enfants .On croit rêver …
Où était l’Aide Sociale à l’enfance ? L’Ecole ???.
En France un enfant meurt tous les 5 jours suite à des mauvais traitements .Ce chiffre ne bouge pas depuis des années .
Honte à notre pays .Honte aux adultes soi disant bien pensants et complices !!!!
Complètement d’accord, tous ceux qui ne disent rien sont archi complices, l’aide sociale à l’enfance, l’école cela me fait rire tous se débinent et surtout ne veulent pas
s’emmerder et c’est plus facile de dire qu’ils n’ont rien vu….!
Bien d’accord avec vous
entierement d’accord avec ses commentaires, comment se fait il que ce monsieur deja condamne pour des faits de violences puisse avoir la garde de ses enfants , c’est incomprehensible, pas de suivi des services sociaux , pas de suivie de l’ecole , les voisins ne voyent rien non plus, dans quel monde vit on …. mais un enfant est mort……QUEL HONTE
Ils vivent dans un quartier sensible, ça veut dire qu’ils sont sensibles au point de s’en prendre à un enfant de 7 ans et deux autres de 4 et 3 ans. « connu des services de police pour des faits de violences intrafamiliales, il avait obtenu la garde des enfants «en raison de la déficience mentale de leur mère». ». Pour le Juge qui a commis cet exploit, sa responsabilité de Juge (du fait de sa déficience mentale) ne peut être engagée.
adressez vous plutôt au Juge aux affaires familiales. C’est lui qui décide qui doit avoir la garde des enfants
l’ASE n’est responsable si elle ne signale pas les maltraitances