Pour rappel, lors d’une interpellation le 28 septembre 2018, il a été l’auteur d’un tir mortel à la nuque sur Henri Lenfant, âgé de 22 ans. Le jeune homme faisait partie d’un groupe de cambrioleurs issu d’un camp de gens du voyage.
Trois individus au comportement dangereux
Le 28 septembre 2018, durant la nuit, le gendarme du GIGN faisait partie d’une escouade qui a tenté d’interpeller trois hommes dans une BMW, véhicule déjà repéré lors de précédents cambriolages. Le militaire ne nie pas son geste même s’il regrette. ««J’ai agi. J’ai fait mon tir. Mais mon souhait n’était pas de tuer la personne mais de sauver ma vie» a-t-il expliqué devant la Cour criminelle de Saint-Omer. D’après la présidente du tribunal, quand les membres du gang se rendent compte de la présence des gendarmes, les passagers réussissent à prendre la fuite. Cependant, Henri Lenfant, le chauffeur, restera au volant du véhicule moteur éteint.
Le gendarme n’avait pas l’intention de tuer le conducteur
Les militaires tentent de sortir Lenfant de la BMW mais il refuse d’obéir aux injonctions des forces de l’ordre. À côté de lui, Alexandre B. se positionne côté passager et tire le frein à main. Il essaiera aussi de retirer les clés du contact, sans succès. C’est à ce moment que Henri Lenfant parvient à redémarrer sa voiture avec le gendarme à l’intérieur, les jambes à l’extérieur. Le gendarme s’accroche et tente de stopper la voiture.
À cet instant, se sentant en danger, comme il l’explique à la barre, il sort son arme et tire sur le chauffeur. La balle se logera dans la nuque de l’homme de 23 ans. Toutefois, la présidente de la cour criminelle a souligné que les personnes mises en cause étaient «très violentes», «avec des comportements dangereux, prêtes à tout pour échapper à leur arrestation». Il appartiendra au tribunal de déterminer si le tir était justifié ou non. Le gendarme risque jusqu’à 20 ans de prison.
Il faut que ce gendarme porte plainte il n’y a que cela pour le sauver de la prison, aberration complète il a bien fait de nous délivrer de se déchet mais de toute façon il n’avait que cela pour se défendre, ils n’ont peur de rien ses débris mais c’est la présidente de la cour criminelle la pire dans cette histoire, je suis certain qu’elle a peur des représailles cette pintade, je plains énormément le gendarme, il faudrait que tous les collègues de la France entière dépose les armes jusqu’au jugement et si il n’a pas gain de cause continuer jusqu’à sa délivrance, voilà la vraie justice sociale.
…les mathématiques sont dures mais imparables : si la justice faisait son boulot, (et nous payons largement pour ça), moins de délinquants potentiels n’entreraient dans notre pays, ce qui libérerait beaucoup de places de prison pour « nos délinquants nationaux »… quant aux « manouches », en tout cas beaucoup d’entr’eux, comme le vol est dans leur culture et que c’est leur fond de commerce, c’est pas près de s’arrêter…
Et allez donc, on va condamner un policier qui n’a fait que son travail !!! Non seulement il ne devrait pas être jugé, mais il devrait être décoré pour service rendu à son pays !!!
C’est honteux, on ne soutient que la criminalité et la voyoucratie dans ce pays. Il n’y a pas de justice, il n’y a que des mafieux pour faire régner un tel chaos !!! Bientôt nous n’aurons plus de policier comme nous avons déjà de moins en moins de soignants. A force de décourager les gens ….