Cette dernière a été retrouvée chez elle, à Oissel, près de Rouen, en Seine-Maritime, dans la nuit du lundi 30 au mardi 31 octobre. Selon les premières constatations du médecin légiste, sa mort ne serait pas naturelle.
L’état psychologique de son concubin est perturbé
Une femme de 46 ans a été retrouvée morte noyée dans sa baignoire, chez elle, à Oissel, près de Rouen, en Seine-Maritime, dans la nuit du lundi 30 au mardi 31 octobre. Ce décès ne serait pas naturel, d’après le médecin venu constater le décès, relayé par Paris-Normandie. La police a tout de suite été prévenue et une enquête a été ouverte. Il est possible qu’il s’agisse d’un féminicide.
Le compagnon de la victime n’était pas dans son état normal et les délations qu’il donne au moment de son arrestation sont suspectes. Ce dernier est âgé de 35 ans. Il a été placé en garde à vue. « Il convient de rester prudent pour l’instant. Son concubin a été placé en garde à vue, car il a pu déclarer, entre autres propos, l’avoir tuée, mais son état psychologique semble perturbé par la prise de médicaments et/ou de toxiques », d’après le procureur de la République.
La victime avait trois filles majeures
« J’étais avec Jessyca dans la soirée chez moi. Elle m’a montré des bleus déjà anciens sur les cuisses. La veille, elle avait quitté son concubin, une de ses filles lui avait dit de partir. Lui la harcelait au téléphone, il voulait la voir une dernière fois pour « faire un gros câlin » Elle est partie à 1h15 du matin, elle devait s’enfermer chez elle et ne pas lui ouvrir », raconte Christelle Lunant, amie de longue date de la victime.
Aux alentours de 2h30, l’homme serait allé voir Christelle Lunant, pour lui dire que Jessyca se trouvait dans la baignoire et qu’elle ne bougeait plus. « J’y suis allée, elle était sous l’eau avec les yeux et la bouche ouverte ». Elle lui demande pourquoi il n’a pas appelé les pompiers, mais il est incapable de lui répondre. « Pendant la soirée, il disait « ma femme, je l’ai tuée, je vais prier »« . Le couple était ensemble depuis deux mois. La victime avait trois filles majeures, avec un autre homme.
il suffit de faire semblant d être dérangé et on échappe à la prison dans la nature les bêtes malades sont éliminées
Lamentable en effet on ne nous dit pas si cette femme est catholique ou juive!
Ou une Beurette ?
C’est un scandale on ne nous dit pas si elle était vatholique ou juive!
Et encore un féminicide !
C’est lamentable. Pauvre femme. Toutes mes condoléances à ses proches. Il faut absolument arrêter de trouver des circonstances atténuantes à ces types qui n’ont vraiment aucun respect pour la gente féminine !!!