Ainsi, jeudi 16 mai, il a été officiellement demandé à la Commission européenne d’examiner cette possibilité. Cependant, cette dernière soulève que la définition juridique de «pays tiers sûrs» fait débat au sein de l’institution.
Le Danemark a pris l’initiative de demander «de nouvelles solutions»
En effet, si la question migratoire est au centre de tous les débats au sein des institutions européennes, la Commission a vu quinze pays membres, emmenés par le Danemark et la République Tchèque, plaider pour de «nouvelles solutions». En tête de liste, ils demandent que le transfert des migrants clandestins vers d’autres pays soient facilité. Ces quinze pays, dont l’Italie et la Grèce, estime le pacte migratoire adopté par l’UE trop timide et souhaitent aller plus loin.
Dans une missive adressée à la Commission européenne, ils demandent «d’identifier, d’élaborer et de proposer de nouveaux moyens et de nouvelles solutions pour prévenir l’immigration irrégulière vers l’Europe». Ils ajoutent qu’ils souhaitent que des mécanismes soient mis en place afin «de détecter, d’intercepter et, en cas de détresse, de secourir des migrants en haute mer et de les emmener dans un lieu sûr d’un pays partenaire hors de l’UE où des solutions durables pourraient être trouvées pour ces migrants».
Une notion juridique encore «floue» pour la Commission européenne
Il s’agirait donc de multiplier les accords avec les pays se situant sur les routes migratoires, comme l’Albanie ou la Turquie. Les quinze pays signataires de cette tribune sont la Bulgarie, la République tchèque, le Danemark, la Finlande, l’Estonie, la Grèce, l’Italie, Chypre, la Lettonie, la Lituanie, Malte, les Pays-Bas, l’Autriche, la Pologne et la Roumanie. On constate donc que la France et l’Espagne n’y figurent pas. Le courrier reçu par la Commission précise que ces pays encouragent «l’établissement de partenariats globaux, mutuellement bénéfiques et durables avec les principaux pays partenaires situés le long des routes migratoires». Il est donc nécessaire, selon eux, de redéfinir le concept de «pays tiers sûr» dans la loi européenne sur l’asile.
A signaler que notre pays la France, ne fait pas partie des demandeurs, il est temps de changer nos représentants qui y siègent, et demander que van der layen, accompagne ces migrants et reste avec eux pour gérer leur vie dans leur nouveau pays d’accueil, elle pourra ainsi connaître ce que c’est que le viol que subissent nos femmes et jeunes filles.
15 pays sur 27 demandent cette mesure et Mme Vanderleyen ne se pose pas de question ? Elle croit encore dur comme fer à ses idées immigrationnistes ?
Rocard disait que la France ne peut pas accueillir toute la misère du monde… Ça s’est modernisé c’est maintenant toute la paresse du monde qui veut venir se faire entretenir chez nous. J’entendais dernièrement sur RMC un de ces éternels Calimero se plaindre « mon père a voulu que nous venions en France : on nous a donné un logement dans la cité, on m’a donné une école, les livres, les cahiers, les stylos, mais on ne m’a pas sorti de la cité ». On a oublié de lui donner le mode d’emploi : les livres il faut les lire, les cahiers les stylos c’est pour travailler, faire ses devoirs et apprendre ses leçons. Faire la chouf pour le copain dealer, ce n’est pas l’idéal.